Lettre ouverte aux ministres Freeland et Holland

L’honorable Chrystia Freeland
Vice-première ministre et ministre des Finances
Ministère des Finances Canada
90, rue Elgin
Ottawa (Ontario)  K1A 0G5

L’honorable Mark Holland
Ministre de la Santé
Santé Canada
Localisateur d’adresse 1801B
Ottawa (Ontario)  K1A 0K9

OBJET : Soutien à la demande budgétaire 2024 de FRDJ pour la recherche sur le diabète de type 1 

Madame la Ministre Freeland et Monsieur le Ministre Holland, 

En tant que chercheurs canadiens travaillant dans le domaine de la thérapie de remplacement des îlots de Langerhans pour le diabète, nous écrivons cette lettre pour soutenir le renouvellement du financement du Partenariat pour vaincre le diabète FRDJ-IRSC dans le cadre du budget fédéral 2024.  

Le diabète de type 1 (DT1) est une condition auto-immune entraînant une carence absolue en insuline, pour laquelle il n’existe pas de thérapie de guérison. Une approche très prometteuse pour guérir la condition consiste à remplacer les cellules des îlots de Langerhans productrices d’insuline qui sont endommagées ou détruites par la transplantation d’un « produit de remplacement des îlots de Langerhans ».  Le Canada est un chef de file mondial dans le domaine de la thérapie de remplacement des îlots de Langerhans pour le DT1 depuis plus de 20 ans et reste à la pointe aujourd’hui, tant en termes de pratique clinique que de productivité de la recherche. De nombreuses percées mondiales et une grande partie de l’élan – largement mené par des chercheurs canadiens et des essais cliniques se déroulant au Canada – ont été rendus possibles grâce au financement de subventions de recherche par FRDJ et les IRSC. Les projets passés et en cours soutenus par ces bailleurs de fonds comprennent des recherches qui visent à : 

  • optimiser les produits de remplacement des îlots de Langerhans pour traiter le DT1 à partir d’une source renouvelable de cellules souches;  
  • tester la sécurité et l’efficacité des produits d’îlots de Langerhans fabriqués dans des modèles animaux de DT1 en vue d’essais cliniques;  
  • fabriquer à grande échelle un produit de remplacement des îlots de Langerhans de haute qualité pour traiter un nombre illimité de patients atteints de DT1; 
  • faire progresser les approches novatrices visant à réduire ou à éliminer l’immunosuppression nécessaire à la transplantation d’une thérapie de remplacement des îlots de Langerhans; et 
  • tirer parti de la technologie de l’édition génétique pour produire des produits de remplacement des îlots de Langerhans de prochaine génération. 

Il est impératif de maintenir l’investissement dans la recherche canadienne sur la thérapie de remplacement des îlots de Langerhans afin de capitaliser sur les investissements réalisés à ce jour au profit des 300 000 Canadiens atteints de DT1, dont la vie pourrait être transformée par l’accessibilité à une thérapie de guérison à base de cellules pour leur condition. Avec un financement suffisant, le Canada sera à la tête de l’effort mondial nécessaire pour traduire l’élan actuel de la recherche en nouveaux traitements et thérapies de guérison pour le DT1. 

Un investissement de 50 millions de dollars du gouvernement fédéral (avec une contrepartie de 25 millions de dollars de FRDJ Canada) permettra d’accélérer la science à une vitesse monumentale. Sans un apport de financement, les immenses progrès réalisés au Canada dans le domaine des thérapies cellulaires pour le traitement du DT1 s’amoindriront considérablement. L’élan que nous avons gagné grâce au solide Partenariat pour vaincre le diabète FRDJ-IRSC nous a amenés au bord de percées – il est temps de faire avancer cette science exceptionnelle et de consolider la position du Canada en tant que leader dans la course à la guérison du DT1.  

Dr James Johnson, professeur
Université de la Colombie-Britannique.

Dr Timothy Kieffer, professeur
Université de la Colombie-Britannique.

Dr Gregory Korbutt, professeur
Université de l’Alberta

Dre Megan Levings, professeure
Université de la Colombie-Britannique.

Dr Dan Luciani, professeur agrégé
Université de la Colombie-Britannique.

Dr Francis Lynn, professeur agrégé
Université de la Colombie-Britannique.

Dr Hongshen Ma, professeur agrégé
Université de la Colombie-Britannique.

Dr Andras Nagy, chercheur principal
Hôpital Mount Sinai

Dre Cristina Nostro, scientifique principale
Réseau universitaire de santé

Dre Amanda Oakie, boursière postdoctorale
Réseau universitaire de santé

Dr Andrew Pepper, professeur adjoint
Université de l’Alberta

Dr Rémi Rabasa-Lhoret,
professeur et endocrinologue,
Université de Montréal, IRCM

Dr Michael Sefton, professeur
Université de Toronto

Dr Peter Senior, professeur et endocrinologue, Université de l’Alberta
Directeur de l’Institut du diabète de l’Alberta

Dr James Shapiro,
professeur et chirurgien transplantologue
Université de l’Alberta

Dr Bruce Verchere, professeur
Université de la Colombie-Britannique.

Au sujet de FRDJ Canada

FRDJ Canada est le plus important organisme de bienfaisance qui finance la recherche sur le diabète de type 1 (DT1) au Canada. Notre mission est d’accélérer les percées révolutionnaires pour guérir, prévenir et traiter le DT1 et ses complications. Depuis sa création en 1974, FRDJ a investi plus de 80 millions de dollars canadiens dans le financement des recherches. Notre organisation a vu le jour grâce à l’initiative de personnes impliquées dans leur communauté qui collaborent à l’échelle régionale pour assurer une plus grande efficacité et un impact optimal des collectes de fonds, et qui unissent leurs efforts à l’échelle nationale pour mobiliser le pouvoir des ressources, de la passion et de l’énergie. Nous collaborons avec des établissements universitaires, des gouvernements, des entreprises et des partenaires du secteur afin de développer et de maintenir un bassin de thérapies novatrices pour les personnes atteintes de DT1. Notre personnel et nos bénévoles à la grandeur du Canada et cinq sociétés internationales affiliées se dévouent à défendre la cause, à inspirer l’engagement communautaire et à transmettre notre vision d’un monde sans DT1. Pour plus d’information, visitez frdj.ca.   

Pour plus d’information : 

Ruth Kapelus 
Gestionnaire nationale du contenu et des relations avec les médias
Tél. : 647.789.2322 
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235 boul. Yorkland, bureau 1201, Toronto (Ontario) M2J 4Y8
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FRDJ est fière d’annoncer la nomination dunouveau vice-président du conseil d’administration international

New York et Toronto, 13 mars 2024 – FRDJ, la principale organisation mondiale de recherche et de défense des droits des personnes atteintes du diabète de type 1 (DT1), a annoncé aujourd’hui la nomination de Matt Varey au poste de vice-président du conseil d’administration international de l’organisme à but non lucratif. Matt, d’Oakville (Ontario), est le premier Canadien et le premier ressortissant d’un pays autre que les États-Unis à occuper le poste de vice-président. Il est cadre supérieur à la Banque Royale du Canada, la plus grande institution financière du pays, où il est responsable de plus de 4 500 employés basés au Canada qui gèrent des investissements personnels, des financements hypothécaires et des avantages collectifs pour un montant total de plus de 100 milliards de dollars par an.    

« FRDJ vit une période passionnante, remplie de percées scientifiques et d’occasions réelles de faire progresser sa mission, soit de créer un monde sans diabète de type 1 », affirme Aaron J. Kowalski, Ph.D., directeur en chef de FRDJ. Nous sommes ravis que Matt assume le rôle de vice-président du conseil d’administration international de FRDJ. Je me réjouis de la collaboration de Matt qui nous permettra d’amplifier le travail de FRDJ dans le monde entier.   

Matt est un bénévole engagé de FRDJ depuis 2001 et un ardent défenseur des efforts de FRDJ pour trouver une thérapie de guérison au DT1 et améliorer la vie des personnes atteintes de cette maladie. En plus de son travail au sein du conseil d’administration international de FRDJ, Matt siège au conseil d’administration de FRDJ Canada.   

« Je suis un bénévole de FRDJ depuis plus de 20 ans et je suis honoré d’assumer le rôle de vice-président du conseil d’administration international de FRDJ », a déclaré Matt Varey. « Je me réjouis de travailler en partenariat avec d’autres personnes dans le monde entier pour faire avancer l’objectif incroyable de FRDJ et pour accélérer les percées et les remèdes qui changent la vie pour le diabète de type 1 »    

Matt et sa femme, la Dre Andrea Jack sont les parents de quatre enfants adultes. Il est diplômé de l’université McMaster à Hamilton (Ontario).    

M. Varey sera rejoint dans son mandat par Lisa Fishbone Wallack, nouvelle présidente du conseil d’administration international de FRDJ. Lisa est avocate de formation et réside dans la région de Boston.    

Au sujet de FRDJ Canada

FRDJ Canada est le plus important organisme de bienfaisance qui finance la recherche sur le diabète de type 1 (DT1) au Canada. Notre mission est d’accélérer les percées révolutionnaires pour guérir, prévenir et traiter le DT1 et ses complications. Depuis sa création en 1974, FRDJ a investi plus de 80 millions de dollars canadiens dans le financement des recherches. Notre organisation a vu le jour grâce à l’initiative de personnes impliquées dans leur communauté qui collaborent à l’échelle régionale pour assurer une plus grande efficacité et un impact optimal des collectes de fonds, et qui unissent leurs efforts à l’échelle nationale pour mobiliser le pouvoir des ressources, de la passion et de l’énergie. Nous collaborons avec des établissements universitaires, des gouvernements, des entreprises et des partenaires du secteur afin de développer et de maintenir un bassin de thérapies novatrices pour les personnes atteintes de DT1. Notre personnel et nos bénévoles à la grandeur du Canada et cinq sociétés internationales affiliées se dévouent à défendre la cause, à inspirer l’engagement communautaire et à transmettre notre vision d’un monde sans DT1. Pour plus d’information, visitez frdj.ca.   

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À propos du diabète de type 1 (DT1) 

Le DT1 est une maladie auto-immune qui fait que le pancréas produit très peu d’insuline, voire pas du tout. Cela entraîne une dépendance à l’insulinothérapie et un risque de complications à court ou à long terme, y compris des hyperglycémies et des hypoglycémies, des dommages aux reins, aux yeux, aux nerfs et au cœur, et même la mort en l’absence de traitement. Au niveau mondial, elle touche près de 9 millions de personnes. Beaucoup pensent que le DT1 n’est diagnostiqué que pendant l’enfance et l’adolescence, mais les diagnostics à l’âge adulte sont fréquents et représentent près de 50 % de tous les diagnostics de DT1. L’apparition du diabète de type 1 n’est pas causé par l’alimentation ni par un style de vie. Bien que ses causes ne soient pas encore entièrement comprises, les scientifiques pensent que des facteurs génétiques et des déclencheurs environnementaux sont impliqués. Il n’existe actuellement aucune thérapie de guérison pour le DT1.

Les Canadiens et Canadiennes atteints de diabète de type 1 auront accès aux traitements et aux dispositifs dont ils ont besoin grâce à un nouveau programme national d’assurance-médicaments. 

29 février 2024 – Ottawa – Aujourd’hui marque un moment historique pour la communauté du diabète de type 1 (DT1) au Canada. FRDJ Canada est ravie d’avoir participé à l’annonce par le gouvernement du Canada d’un nouveau programme national d’assurance-médicaments. L’organisation félicite le gouvernement fédéral de veiller à ce que les quelque 300 000 Canadiens vivant avec le DT1, une maladie auto-immune qui nécessite une surveillance constante de la glycémie et de multiples injections quotidiennes d’insuline pour survivre, aient accès aux traitements et aux dispositifs dont ils ont besoin pour améliorer l’autogestion, leurs résultats en matière de santé et leur qualité de vie.

« Un programme national d’assurance-médicaments incluant l’insuline et les dispositifs pour le traitement du diabète témoigne d’un engagement profond à garantir un accès équitable aux soins de santé à tous les Canadiens, indépendamment de leur état de santé ou de leur statut socio-économique, et permettrait de soulager notre système de santé d’un fardeau immense. Nous nous réjouissons de l’annonce par le gouvernement d’un programme qui fournira à tous les Canadiens l’accès dont ils ont besoin », déclare Jessica Diniz, présidente et cheffe de la direction de FRDJ Canada.

L’insuline a été découverte au Canada par les docteurs Banting, Collip et Best, qui ont ensuite vendu le brevet à l’université de Toronto pour 1 $. Banting a dit de façon célèbre : « L’insuline ne m’appartient pas, elle appartient au monde ». Selon Banting, toute personne ayant besoin d’insuline devait y avoir accès. En faisant de toutes les insulines l’un des premiers traitements couverts par l’assurance-médicaments, on honore cet héritage historique.

L’accès à l’insuline et aux bandelettes de mesure de la glycémie permet une meilleure prise en charge du diabète et pourrait redonner deux ans de vie en bonne santé à une personne atteinte de DT1. Et si tous les Canadiens avaient accès à des dispositifs de traitement du diabète tels que des pompes à insuline et des glucomètres avancés, la personne moyenne atteinte de DT1 pourrait retrouver six années de vie en bonne santé. L’accès à la technologie du diabète contribue également à réduire le risque de complications potentiellement mortelles. En outre, une meilleure autogestion permet de réduire les visites à l’hôpital et les coûts à long terme associés à l’hospitalisation. Sans ces appareils, la personne moyenne vivant avec le DT1 passe 18 jours de plus par an à gérer sa condition.

Cet engagement du régime national d’assurance-médicaments contribuera à améliorer la vie des personnes atteintes de DT1. L’objectif, par ailleurs, demeure de trouver des thérapies de guérison pour le DT1, et le Canada est à la pointe de la recherche la plus prometteuse sur le DT1, qui nous permettra d’atteindre cet objectif grâce à des investissements soutenus dans la recherche. FRDJ Canada a présenté au gouvernement fédéral une proposition budgétaire de 50 millions de dollars dans le budget 2024 pour le financement de la recherche sur le DT1, que FRDJ soutiendra avec 25 millions de dollars supplémentaires, pour un investissement total de 75 millions de dollars dans la recherche. Ce financement permettra d’accélérer les progrès vers un monde où les personnes atteintes de DT1 ne seront plus dépendantes de l’insuline, ce qui constitue un complément naturel à un programme national d’assurance-médicaments. Le Canada a donné au monde l’insuline, et FRDJ Canada croit fermement qu’avec le soutien du gouvernement fédéral, le Canada peut donner au monde une thérapie de guérison.

Pour plus d’information sur le nouveau programme national d’assurance-médicaments, veuillez visiter [include government link]. :

Lien vers le communiqué de presse : https://www.canada.ca/fr/sante-canada/nouvelles/2024/02/le-gouvernement-du-canada-presente-un-projet-de-loi-pour-la-mise-en-uvre-de-la-premiere-phase-dun-regime-national-et-universel-dassurance-medicaments.html 

Lien vers le document d’information : https://www.canada.ca/fr/sante-canada/nouvelles/2024/02/acces-universel-aux-medicaments-contre-le-diabete-et-fonds-pour-les-dispositifs-et-les-fournitures-pour-le-traitement-du-diabete.html 

À propos de FRDJ

FRDJ est la plus importante organisation internationale de financement des recherches sur le diabète de type 1 (DT1). Notre mission est d’accélérer les percées révolutionnaires pour guérir, prévenir et traiter le DT1 et ses complications. Notre organisation a vu le jour grâce à l’initiative de personnes impliquées dans leur communauté qui collaborent à l’échelle régionale pour assurer une plus grande efficacité et un impact optimal des collectes de fonds, et qui unissent leurs efforts à l’échelle nationale afin de mobiliser le pouvoir des ressources, de la passion et de l’énergie. FRDJ s’associe à l’ensemble de la filière de développement du DT1 – y compris les établissements universitaires, les gouvernements et les entreprises – pour financer la recherche et plaider en faveur de la mise en œuvre de thérapies novatrices pour les personnes atteintes du DT1. Notre personnel et nos bénévoles à la grandeur du Canada et cinq sociétés internationales affiliées se dévouent à défendre la cause, à inspirer l’engagement communautaire et à transmettre notre vision d’un monde sans DT1. Pour plus d’information, visitez frdj.ca.

Pour les demandes de renseignements des médias ou pour de plus amples renseignements, veuillez contacter :

Ruth Kapelus
Gestionnaire nationale du contenu et des relations avec les médias, FRDJ Canada
Tél. : 647.789.2322 Courriel : rkapelus@jdrf.ca

La Nouvelle-Écosse annonce l’élargissement de la couverture pour les pompes à insuline et les glucomètres avancés 

28 février 2024 – Halifax – Le gouvernement de la Nouvelle-Écosse a annoncé un investissement historique visant à faciliter l’accès des Néo-Écossais atteints de diabète aux dispositifs de traitement du diabète, tels que les pompes à insuline et les glucomètres. La province investira 5,9 millions de dollars pour financer des fournitures de surveillance de la glycémie fonctionnant à l’aide de capteurs, et 1,3 million de dollars pour élargir le programme de pompes à insuline de la Nouvelle-Écosse en éliminant la limite d’âge actuelle.

Les fournitures pour la surveillance de la glycémie seront obtenues par le biais d’un nouveau programme basé sur le revenu et des programmes d’assurance-médicaments existants. Les Néo-Écossais atteints de diabète de type 1 (DT1) ou de type 2 peuvent accéder à ce nouveau programme, mais les conditions d’admissibilité comprennent le besoin d’injections quotidiennes multiples d’insuline ou de pompes à insuline pour gérer leur diabète.

Les Néo-Écossais dont le revenu annuel du ménage est inférieur à 60 000 $ ne paieront aucune franchise, tandis que les ménages dont le revenu est compris entre 60 000 et 150 000 $ paieront une franchise comprise entre 500 et 1 000 $.

En Nouvelle-Écosse, on estime que 9 000 personnes vivent avec le DT1. Pour ces Néo-Écossais, la gestion quotidienne de cette condition consiste en une surveillance constante de leur glycémie et en l’administration d’insuline externe par injections ou par pompe à insuline plusieurs fois par jour. Même avec une prise en charge des plus rigoureuses, les personnes atteintes du DT1 sont quand même exposées à de graves complications liées au diabète, telles que les maladies rénales, la cécité, l’amputation et même la mort.

Grâce à cet investissement, on estime à 4 000 le nombre de personnes qui bénéficieront d’une couverture des coûts d’approvisionnement en capteurs de glucose et à 450 le nombre de Néo-Écossais supplémentaires qui pourront accéder au programme de pompes à insuline de la Nouvelle-Écosse.

Grâce à sa campagne de défense d’intérêts #Accèspourtous, FRDJ Canada s’efforce d’alléger les fardeaux financiers, physiques et de santé mentale associés au DT1 en rendant la technologie de gestion du DT1 abordable et universellement accessible à tous les Canadiens vivant avec la condition auto-immune.

« FRDJ Canada est heureuse de se joindre au gouvernement de la Nouvelle-Écosse aujourd’hui pour annoncer l’amélioration des soins offerts aux personnes atteintes du DT1 dans la province. Nous apprécions que le gouvernement provincial reconnaisse les besoins uniques des Néo-Écossais qui vivent avec cette condition et qu’il ait pris des mesures pour accroître l’accès aux technologies qui sauvent des vies, permettant ainsi d’améliorer les résultats pour la santé et la qualité de vie », déclare Jessica Diniz, présidente et cheffe de la direction de FRDJ Canada. 

Des études ont montré que l’autogestion du DT1 est améliorée par l’utilisation de technologies du diabète. Les pompes à insuline permettent aux individus de mieux contrôler l’administration de l’insuline en fonction des besoins, et les glucomètres avancés fournissent des lectures de glycémie en temps réel, ce qui permet de passer plus de temps dans la cible. Lorsque les pompes et les glucomètres avancés sont utilisés en tandem, les personnes atteintes de la condition peuvent bénéficier de leur technologie intégrée dans un systèeme hybride en boucle fermée (HCL) qui permet l’administration automatique de l’insuline en fonction des tendances de la glycémie en temps réel.

Il a été prouvé que l’utilisation de ces dispositifs réduisait les hospitalisations et le risque de complications à long terme pour les utilisateurs. Ils contribuent également à atténuer l’anxiété associée à la vie avec le DT1 en permettant aux individus de mieux planifier leurs activités en fonction de la condition, y compris les exercices, les repas et le repos.  

Depuis 2019, la campagne Accès pour tous de FRDJ a mobilisé des défenseurs passionnés des communautés du DT1 dans tout le pays pour faire entendre leur voix à tous les paliers du gouvernement. Avec le soutien de FRDJ, ils ont provoqué des changements dans plusieurs provinces et territoires afin d’améliorer l’accès aux technologies de traitement du diabète qui changent des vies.

« Je suis ravie et soulagée de voir que la province de Nouvelle-Écosse va désormais couvrir le coût des SGC et éliminer la limite d’âge pour la couverture des pompes à insuline. Cela change ma vie et celle de tous les Néo-Écossais atteints de DT1, » Emma Perry, défenseure du DT1 locale.

Pour en savoir plus sur le programme de pompes à insuline de la Nouvelle-Écosse : https://novascotia.ca/DHW/NSIPP/

Pour lire le communiqué du gouvernement (en anglais seulement) : https://news.novascotia.ca/en/2024/02/28/more-funding-reduce-costs-improve-diabetes-care

Au sujet de FRDJ Canada 

FRDJ Canada est le plus important organisme de bienfaisance qui finance la recherche sur le diabète de type 1 (DT1) au Canada. Notre mission est d’accélérer les percées révolutionnaires pour guérir, prévenir et traiter le DT1 et ses complications. Depuis sa création en 1974, FRDJ a investi plus de 80 millions de dollars canadiens dans le financement des recherches. Notre organisation a vu le jour grâce à l’initiative de personnes impliquées dans leur communauté qui collaborent à l’échelle régionale pour assurer une plus grande efficacité et un impact optimal des collectes de fonds, et qui unissent leurs efforts à l’échelle nationale pour mobiliser le pouvoir des ressources, de la passion et de l’énergie. Nous collaborons avec des établissements universitaires, des gouvernements, des entreprises et des partenaires du secteur afin de développer et de maintenir un bassin de thérapies novatrices pour les personnes atteintes de DT1. Notre personnel et nos bénévoles à la grandeur du Canada et cinq sociétés internationales affiliées se dévouent à défendre la cause, à inspirer l’engagement communautaire et à transmettre notre vision d’un monde sans DT1. Pour plus d’information, visitez frdj.ca.   

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Veiller à ce que les Canadiens vivant avec le diabète aient accès aux traitements et aux dispositifs dont ils ont besoin dans le cadre du régime national d’assurance-médicaments du Canada 

27 février 2024 – Ensemble du Canada – FRDJ Canada, un organisme voué à l’amélioration de la vie des quelque 300 000 personnes atteintes du diabète de type 1 (DT1) au Canada grâce à ses efforts de défense d’intérêts, attend l’annonce imminente d’un nouveau programme national d’assurance-médicaments qui inclura la couverture des médicaments contre le diabète. L’insuline a été découverte au Canada par Banting, Collip et Best, qui ont ensuite vendu le brevet à l’université de Toronto pour 1 $. Banting a dit de façon célèbre : « L’insuline ne m’appartient pas, elle appartient au monde ». Il voulait que tous ceux qui en avaient besoin puissent y avoir accès. En faisant de toutes les insulines l’un des premiers traitements couverts par l’assurance-médicaments, on honore cet héritage historique.

Un autre élément essentiel que nous avons hâte de voir pris en charge dans le régime national d’assurance-médicaments concerne les dispositifs de traitement du diabète, tels que les glucomètres avancés et les pompes à insuline.

La thérapie par pompe à insuline est un outil crucial pour la gestion du diabète chez de nombreuses personnes atteintes de la condition, en particulier celles atteintes de DT1. Par rapport à l’insulinothérapie administrée à l’aide de seringues ou de stylos, l’utilisation de la pompe à insuline est généralement associée à un meilleur contrôle de la glycémie, à une réduction de l’hypoglycémie et d’autres complications, ainsi qu’à une amélioration de la qualité de vie chez les personnes atteintes de DT1.

De plus, par rapport aux méthodes conventionnelles de contrôle de la glycémie par piqûre au doigt, les glucomètres avancés, notamment les systèmes de surveillance du glucose en continu (SGC) et les systèmes flash de surveillance du glucose (FSG), ont révolutionné la prise en charge du diabète. Ces appareils fournissent des lectures de la glycémie en temps réel et des tendances, ce qui permet aux individus de prendre des décisions proactives concernant la gestion de leur diabète. Ils fournissent également aux cliniciens des données améliorées pour guider les décisions de traitement de leurs patients atteints de diabète. Chez les personnes atteintes de DT1,ces systèmes de surveillance du glucose améliorent non seulement la qualité de vie des personnes atteintes de diabète, mais aussi le contrôle de la glycémie, réduisant ainsi le risque de complications à long terme.

Un programme national d’assurance-médicaments incluant l’insuline et les dispositifs pour le traitement du diabète témoignerait d’un engagement profond à garantir un accès équitable aux soins de santé à tous les Canadiens, indépendamment de leur état de santé ou de leur statut socio-économique, et permettrait de soulager notre système de santé d’un fardeau immense.

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Annonce des bourses de transition en début de carrière des IRSC – Excellence, diversité et indépendance en recherche (EDIR)

Ces bourses soutiennent le développement de la carrière de la prochaine génération de chercheurs dans le domaine de la santé. Les bourses EDIR sont destinées aux chercheurs post-doctoraux, aux cliniciens et aux associés de recherche issus de groupes sous-représentés spécifiques, afin de les aider à lancer leur carrière de professeur de recherche au Canada. Les prix 2023 étaient réservés aux Noirs et aux femmes racialisées, deux groupes qui, selon des études antérieures, sont nettement sous-représentés parmi les professeurs des universités canadiennes.

Cette bourse de transition est destinée à favoriser le développement de chercheurs indépendants grâce à un développement de carrière adapté et encadré en phase 1 (recherche supervisée) avant de passer à la phase 2 (poste de recherche indépendant) et d’établir et de maintenir leur programme de recherche indépendant dans le milieu universitaire. Le premier concours a eu lieu en 2023, et FRDJ s’est associée aux IRSC pour soutenir deux candidats dans le domaine du DT1.

Dre Yi Chun Chen

La Dre Chen est boursière de recherches postdoctorales à l’université de Colombie-Britannique. L’objectif de sa carrière est d’établir un programme de recherche indépendant axé sur l’étude des réponses adaptatives des cellules bêta au cours du développement du DT1, afin d’éclairer la conception de thérapies visant à protéger les cellules bêta dans le DT1. Ses recherches portent sur les causes et les conséquences d’un traitement insuffisant des prohormones des îlots de Langerhans dans le diabète. La Dre Chen était auparavant titulaire d’une bourse de recherche postdoctorale de FRDJ International.

Dre Hyekyoung (Cindy) Sung

La Dre Sung est boursière de recherches postdoctorales à l’université de York, dans le laboratoire du Dr Gary Sweeney. Ses recherches portent sur l’impact de l’adiponectine (une hormone naturelle produite principalement par le tissu adipeux) sur la régulation des niveaux de glucose et la sensibilité à l’insuline. Dans le cadre de cette bourse, elle caractérisera l’importance d’une certaine voie immunitaire dans le DT1 et réalisera des études précliniques pour tester des médicaments qui ciblent cette voie comme moyen possible de prévenir ou de traiter le DT1. L’objectif global de la carrière de la Dre Sung est d’identifier les voies importantes dans le DT1, de caractériser les sous-types de la maladie et de travailler sur de nouvelles approches de médecine de précision pour le DT1.

Les prix EDIR des IRSC aident le Canada à cultiver l’ensemble de ses immenses talents scientifiques en comblant les lacunes en matière de formation et en favorisant la diversité. En soutenant la prochaine génération de chercheurs au début de leur carrière, nous contribuons à former des experts de classe mondiale en matière de DT1, facilitant ainsi les percées novatrices pour les années à venir.

Tribune libre sur FRDJ Canada dans le Hill Times, 14 février 2024

OPINION :  Le Canada est en passe de guérir le diabète de type 1. Avec le soutien adéquat, nous pouvons y parvenir.

L’innovation en matière de recherche devient de plus en plus compétitive dans le monde post-pandémique et le Canada risque de perdre sa place.

On estime à 300 000 le nombre de Canadiens (en augmentation de 4,4 % par an) qui vivent avec le diabète de type 1 (DT1), une maladie auto-immune qui survient lorsque le pancréas ne peut pas produire suffisamment d’insuline pour l’organisme, ce qui provoque une augmentation du taux de sucre dans le sang. Jusqu’à ce qu’une thérapie de guérison soit découverte, les personnes atteintes de DT1 doivent surveiller leur glycémie tout le long de la journée et prendre plusieurs injections d’insuline pour survivre. Mais l’insuline n’est qu’un traitement, et les Canadiens atteints du DT1 présentent un risque élevé de complications lourdes, une qualité de vie moindre et une espérance de vie inférieure de 10 ans à celle de la population générale.

En matière de recherche sur le diabète, le Canada s’est toujours distingué sur la scène internationale. Depuis la découverte de l’insuline à Toronto en 1921, le Canada n’a cessé de réaliser des percées significatives dans la lutte contre le DT1, depuis la découverte des cellules souches en 1961 jusqu’à la mise au point du protocole d’Edmonton – une méthode de transplantation de cellules pancréatiques – en 1999.

En 2022, le gouvernement fédéral a publié le Cadre sur le diabète au Canada, qui souligne la nécessité de mieux reconnaître les personnes touchées par le diabète, de collaborer avec elles et de les soutenir. Le cadre fournit une orientation politique commune pour aider à harmoniser les efforts nationaux de lutte contre le diabète. Cependant, comme les rapports précédents, il reconnaît que le Canada ne dispose toujours pas des fonds nécessaires à la recherche sur le diabète et à la mise en pratique des découvertes. Le gouvernement fédéral a l’occasion de faire des investissements significatifs dans la recherche et de démontrer son leadership et son engagement en faveur d’un meilleur traitement et d’un meilleur soutien pour les personnes vivant avec le diabète.

Le Canada a le talent et la capacité de poursuivre son héritage de succès et peut être le lieu où les prochaines percées majeures dans les traitements du DT1 seront découvertes et commercialisées et amélioreront la vie des gens. Mais pour maintenir notre position de leader en matière de recherche et réduire l’immense pression exercée sur notre système de soins de santé par le DT1 et ses complications, il faut un investissement soutenu dans la recherche et l’innovation tout au long du pipeline. C’est pourquoi FRDJ recommande au gouvernement fédéral d’investir 50 millions de dollars sur cinq ans dans le Partenariat pour vaincre le diabète FRDJ-IRSC afin de financer des recherches translationnelles nouvelles et existantes sur le DT1 – de la découverte aux essais cliniques – afin d’améliorer les résultats pour la santé, de stimuler la commercialisation, de créer de bons emplois et de soutenir le secteur des sciences de la vie au Canada.

Financer la recherche translationnelle, c’est mettre les innovations sur le marché. Les investissements dans cet espace créent non seulement des emplois pour le personnel de recherche, le personnel hautement qualifié et les étudiants, mais permettent également de transformer les découvertes en entreprises. En l’absence d’incitations adéquates, les projets canadiens, et les chercheurs qui les soutiennent, pourraient choisir de se délocaliser dans d’autres pays offrant de meilleures opportunités. Le Canada se retrouve ainsi dans une situation où il lance des projets de recherche avec un investissement initial important, mais perd ensuite les bénéfices économiques qui découleraient de ses découvertes, ainsi que les bénéfices des nouveaux traitements dont les Canadiens ont besoin. En faisant passer efficacement les projets de recherche du stade du pipeline à celui de la commercialisation, le Canada peut montrer qu’il accorde de l’importance à l’innovation et qu’il peut être une destination pour attirer de nouveaux talents et de nouveaux investissements dans ce domaine.

En plus d’améliorer la vie des Canadiens atteints de DT1, la mise sur le marché de solutions innovantes apportera également des avantages à long terme aux gouvernements qui cherchent à réduire les coûts des soins de santé (qui, au Canada, s’élèvent à 27 milliards de dollars en raison du diabète). Les innovations dans la recherche sur le DT1 permettent de réduire les hospitalisations dues aux complications associées (notamment l’acidocétose diabétique, l’hypoglycémie, les maladies rénales et cardiovasculaires et les troubles de la santé mentale), ainsi que d’améliorer la qualité de vie et les résultats en matière de santé, réduisant ainsi l’absentéisme et le présentéisme liés au DT1 chez les Canadiens en âge de travailler.

Alors que la recherche mondiale nous rapproche de la guérison du DT1, nous ne pouvons pas nous permettre d’abandonner les progrès que nous avons réalisés au Canada. Il est essentiel que le gouvernement fournisse des sources de financement cohérentes et stables aux chercheurs canadiens pour qu’ils puissent lancer les prochains projets qui transformeront le paysage de la thérapie du DT1. Le Canada a découvert l’insuline. Le Canada a découvert les cellules souches et a été à l’origine du protocole d’Edmonton. Le Canada peut jouer un rôle de premier plan dans la découverte de thérapies de guérison.

– Dre Sarah Linklater, conseillère scientifique en chef chez FRDJ Canada

FRDJ Canada et Sanofi Canada annoncent un partenariat pour la sensibilisation au diabète auto-immun de type 1 et à l’importance du dépistage pour sa détection précoce

Toronto (Ontario), 20 février 2024 – FRDJ Canada et Sanofi Canada annoncent un partenariat qui vise à sensibiliser le public au sujet du diabète de type 1 (DT1), une maladie auto-immune chronique, et de l’importance du dépistage pour sa détection précoce.

À l’échelle nationale, le nombre de personnes qui reçoivent un diagnostic de DT1 croît à un rythme d’environ 4,4 % par année, ce qui place le Canada parmi les pays du monde qui affichent les taux les plus élevés de nouveaux cas de DT1 chaque année. On croit souvent que le DT1 n’est diagnostiqué qu’au cours de l’enfance ou de l’adolescence, mais les diagnostics à l’âge adulte sont fréquents et représentent plus de 50 % de tous les cas de DT1. En général, le diagnostic du DT1 survient après l’apparition de symptômes cliniques comme une soif excessive, un besoin d’uriner fréquent et une perte de poids; toutefois, les dommages auto-immuns aux cellules bêta du pancréas commencent bien avant que ces signes se manifestent.

Le DT1 évolue en trois étapes distinctes, dont la première, dite « silencieuse », se caractérise par la présence d’autoanticorps sans symptômes manifestes. Une meilleure connaissance des stades préalables à l’apparition de la maladie pourrait limiter le risque d’acidocétose diabétique, une affection potentiellement mortelle souvent concomitante du diagnostic de DT1. La détection précoce pourrait prévenir les hospitalisations et réduire le fardeau financier important pour le système de santé.  

Jessica Diniz, Présidente et cheffe de la direction, FRDJ Canada

Dans le cadre de ce partenariat, FRDJ Canada et Sanofi Canada chercheront à mieux faire connaître le DT1 et le potentiel que représente le dépistage pour aider les personnes et les familles susceptibles d’être affectées un jour par cette maladie. Le dépistage du DT1 constitue un pilier central de la stratégie de FRDJ à l’échelle mondiale, car il permet de repérer les personnes à risque et d’offrir les services d’éducation et de soutien nécessaires à l’amélioration des conditions de santé. L’objectif de ce nouveau partenariat sera de mettre en place des ressources et un soutien pour les Canadiens susceptibles de présenter un DT1 et leur équipe de soins, afin de créer une culture de prise en charge proactive de la santé.

Ahmed Moussa, Directeur général, Médicaments grand public, Sanofi Canada

Chez Sanofi, nous pensons que l’éducation sur le diabète est un outil essentiel pour les personnes vivant avec cette maladie et pour les professionnels de santé qui les soignent. Notre partenariat avec FRDJ s’articule autour d’une volonté commune de faire connaître le parcours qui mène à l’apparition du DT1. En mettant en lumière les étapes qui précèdent les symptômes cliniques de la maladie, nous visons à bien outiller les personnes pour qu’elles prennent des décisions éclairées au sujet de leur santé. Une détection précoce peut permettre de faire face à un éventuel diagnostic avec tous les outils éducatifs et le soutien nécessaires pour une prise en charge préventive.

À propos de FRDJ 

FRDJ Canada est le plus important organisme de bienfaisance qui finance la recherche sur le diabète de type 1 (DT1) au Canada. Notre mission est d’accélérer les percées révolutionnaires pour guérir, prévenir et traiter le DT1 et ses complications. Notre organisation a vu le jour grâce à l’initiative de personnes impliquées dans leur communauté qui collaborent à l’échelle régionale pour assurer une plus grande efficacité et un impact optimal des collectes de fonds, et qui unissent leurs efforts à l’échelle nationale pour mobiliser le pouvoir des ressources, de la passion et de l’énergie.  Nous collaborons avec des établissements universitaires, des gouvernements, des entreprises et des partenaires du secteur afin de développer et de maintenir un bassin de thérapies novatrices pour les personnes atteintes de DT1. Notre personnel et nos bénévoles à la grandeur du Canada et cinq sociétés internationales affiliées se dévouent à défendre la cause, à inspirer l’engagement communautaire et à transmettre notre vision d’un monde sans DT1. Pour plus d’information, visitez frdj.ca  

À propos de Sanofi 

Sanofi est une entreprise mondiale de santé, innovante et animée par une vocation : poursuivre les miracles de la science pour améliorer la vie des gens. Nos équipes, présentes dans une centaine de pays, s’emploient à transformer la pratique de la médecine pour rendre possible l’impossible. Nous apportons des solutions thérapeutiques qui peuvent changer la vie des patients et des vaccins qui protègent des millions de personnes dans le monde, guidés par l’ambition d’un développement durable et notre responsabilité sociétale. 

Au Canada, nous employons plus de 2 000 personnes et investissons annuellement 20 % de nos revenus dans la recherche biopharmaceutique. Cet investissement représente 1,2 milliard de dollars canadiens en R et D au cours de la dernière décennie et contribue à la création d’emplois, d’entreprises et d’opportunités à travers le pays. Nous sommes aussi en bonne voie de réaliser plus de 2 milliards de dollars en nouveaux investissements dans les infrastructures d’ici 2028, y compris deux nouvelles installations de fabrication de vaccins sur notre campus de Toronto. 

En 2024, nous célébrons 110 ans d’héritage dédiés au développement de solutions de santé innovantes pour les Canadiens. Ce qui n’était au départ qu’un petit laboratoire en mai 1914 a évolué jusqu’à devenir le plus vaste centre de bioproduction au Canada. 

Pour plus de renseignements : 

FRDJ Canada | Ruth Kapelus |647 789 2322 | rkapelus@jdrf.ca

Sanofi | Lori Bogdanis | 514-233-8549 | lori.bogdanis@sanofi.com  

Déclaration de FRDJ appelant à la création d’un corridor médical au Moyen-Orient

FRDJ, la principale organisation mondiale de recherche et de défense du diabète de type 1 (DT1), se joint aux organismes de soins de santé et aux organismes humanitaires sans but lucratif du monde entier pour demander la création d’un corridor médical afin de permettre l’accès immédiat aux fournitures et aux médicaments vitaux, comme l’insuline, dont ont besoin toutes les personnes atteintes du DT1 dans la zone de conflit du Moyen-Orient. À tout moment, y compris en période de conflit, les personnes atteintes de DT1 ont besoin d’insuline pour vivre, indépendamment de leur race, de leur religion ou de leur origine nationale. FRDJ exhorte les personnes influentes dans la région à contribuer à préserver la vie en se joignant à notre organisation pour soutenir cet effort.

FRDJ accorde 12 millions de dollars pour un essai clinique de phase 3 sur le diabète de type 1 et les maladies rénales, et se joint à la Fondation canadienne du rein pour stimuler la recherche sur le traitement des maladies rénales – FRDJ

FRDJ, la principale organisation mondiale de recherche et de défense du diabète de type 1 (DT1), a accordé 12 millions de dollars aux chercheurs Dr Alessandro Doria du Joslin Diabetes Center, Dr Michael Mauer de l’école de médecine de l’Université du Minnesota, et Dr David Cherney, de l’University Health Network, Université de Toronto, pour mener un essai clinique pivot qui testera la sotagliflozine, un double inhibiteur du sodium-glucose cotransporteur (SGLT)1 et SGLT2, dans le traitement des complications rénales chez les personnes atteintes de DT1. L’étude s’appuiera sur le projet de recherche SUGARNSALT, dirigé à l’origine par le Dr Cherney, qui bénéficie d’un engagement d’un million de dollars de la Fondation canadienne du rein (FCR) et d’un investissement d’un million de dollars des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) dans le cadre du concours de subvention d’équipe : « Mécanismes du diabète et solutions translationnelles », lancé en 2022. 

Les maladies rénales restent une complication potentiellement mortelle pour les personnes atteintes de diabète. Près de la moitié des cas d’insuffisance rénale sont dus au diabète, et on estime qu’une personne sur trois atteintes de DT1 développe une maladie rénale importante. Ces dernières années, les inhibiteurs du SGLT se sont révélés très efficaces pour améliorer l’état des reins chez les personnes atteintes de diabète de type 2, mais les recherches sur leur efficacité chez les personnes atteintes de DT1 et de néphropathie diabétique établie sont encore insuffisantes. Étant donné le peu de thérapies approuvées pour les personnes atteintes de DT1 qui ont développé une maladie rénale et le risque important de progression de la maladie rénale malgré les traitements actuels disponibles pour ces patients, cette étude est une étape importante pour répondre à un besoin clinique non satisfait et permettre à ces personnes de vivre plus longtemps et en meilleure santé. 

L’essai sera mené sur des sites aux États-Unis et au Canada, et le recrutement devrait commencer en mai 2024. 

Pour en savoir plus sur ce prix, veuillez consulter le site (uniquement en anglais) : FRDJ accorde 9 millions de dollars pour un essai clinique de phase 3 sur le diabète de type 1 et les maladies rénales, et se joint à la Fondation canadienne du rein pour stimuler la recherche sur le traitement des maladies rénales – FRDJ

FRDJ Canada est heureuse d’appuyer quatre nouveaux stagiaires en partenariat avec le Réseau de recherche et formation sur les îlots du Canada

FRDJ Canada est ravie de poursuivre son partenariat fructueux avec le Réseau canadien de recherche et formation sur les îlots du Canada (R2FIC) et d’annoncer une deuxième cohorte de stagiaires cofinancés à compter de 2024.

Le R2FIC a été créé en 2020 en tant que réseau de formation et de recherche de classe mondiale grâce à des contributions conjointes de l’Université de l’Alberta, de l’Université de la Colombie-Britannique, de l’Université du Manitoba, de l’Université de Montréal, de l’Institut de recherches cliniques de Montréal et de l’Université de Toronto. Il compte maintenant 12 établissements au Canada.  FRDJ Canada vient d’établir un partenariat en 2023 avec le R2FIC afin d’obtenir du financement pour ce réseau par le biais du programme NESERC-CREATE (National Science and Engineering Research Council – Collaborative Research and Training Experience). Découvrez les stagiaires de la cohorte 2023 ici.

Nerea Cuesta-Gomez, PhD

Boursière postdoctorale

Superviseur : Greg Korbutt, Université de l’Alberta

Amélioration de la greffe et de la survie des cellules b grâce à des systèmes d’administration thérapeutique localisés au niveau de la greffe.

La greffe d’îlots de Langerhans peut inverser le diabète, mais environ 60 % des cellules meurent peu après la greffe. En raison du nombre limité de donneurs et de la nécessité d’une immunosuppression, cette approche n’est accessible qu’à environ 10 % des personnes atteintes de diabète de type 1 (DT1). Par conséquent, les approches qui augmentent la survie des îlots et réduisent les besoins d’immunosuppression rendront la greffe d’îlots accessible à une plus large population de patients atteints de DT1. Cette recherche utilisera deux systèmes d’administration thérapeutique, composés de biomatériaux (acide polylactique-co-glycolique; PLGA), pour améliorer la survie et la fonction des greffons d’îlots lorsqu’ils sont transplantés dans le site sous-cutané (sous la peau). Tout d’abord, un échafaudage bioactif fournira un soutien structurel aux îlots transplantés et créera un environnement sous-cutané qui facilitera leur fonctionnement optimal. De plus, les systèmes d’administration libéreront des substances thérapeutiques de manière contrôlée, en ciblant les facteurs clés qui influencent le succès de la greffe d’îlots de Langerhans. De cette manière, nous cherchons à améliorer la survie et la fonction des îlots et à améliorer les résultats globaux de la greffe.

Alejandro Schcolnik-Cabrera, MD/PhD

Boursier postdoctoral

Superviseure : Sue Tsai, Université de l’Alberta

Les déterminants de la progression du DT1 au début de la vie – vus sous l’angle de l’axe intestin-pancréas

Le diabète de type 1 (DT1) est une maladie auto-immune dans laquelle les lymphocytes T attaquent les cellules pancréatiques productrices d’insuline. Cette maladie est associée à des altérations métaboliques liées au microbiote intestinal, qui est modulé par une exposition précoce à des facteurs maternels tels que le lait maternel. Il est intéressant de noter que le lait maternel est une source importante d’immunoglobuline A, qui maintient l’homéostasie du microbiote. Dans ce projet, nous identifierons les rôles de l’IgA et d’autres métabolites présents dans le lait maternel dans les voies immunitaires et métaboliques de l’intestin, en essayant de disséquer la façon dont ils régulent le microbiote et le DT1. Nous prévoyons prédire les voies clés liées à l’évolution lente ou rapide des personnes atteintes de DT1, en utilisant des biopsies du côlon par endoscopie, le séquençage de l’ARN et des algorithmes d’apprentissage automatique. 

Youngmin Song

Étudiant au doctorat

Superviseure : Cristina Nostro, Université de Toronto

Amélioration des thérapies de remplacement des îlots de Langerhans dérivées de cellules souches pour le traitement du diabète de type 1 par la co-greffe de cellules d’îlots de Langerhans et de macrophages

Les cellules de type îlots peuvent être générées in vitro à partir de cellules souches pluripotentes humaines et peuvent constituer une alternative potentielle aux pancréas de cadavres dans les thérapies de greffe pour les patients atteints de DT1. Des essais cliniques utilisant des cellules pancréatiques dérivées de cellules souches ont été lancés et apportent la preuve de principe que cette approche est viable. Cependant, l’amélioration de la prise de greffe et la prévention du rejet pour assurer la fonctionnalité à long terme du greffon restent des problèmes tant pour les îlots provenant de donneurs décédés que pour les îlots dérivés de cellules souches. Ce projet explorera les moyens d’utiliser les macrophages dérivés de cellules souches, un type de cellule immunitaire innée aux fonctions très diverses, pour améliorer la greffe d’îlots de Langerhans dérivés de cellules souches. 

Jia Zhao

Boursière postdoctorale

Superviseur : Timothy Kieffer, Université de la Colombie-Britannique

Modélisation des maladies du pancréas humain à l’aide d’un nouveau système de sphéroïdes d’îlots dérivés de cellules souches

Grâce aux progrès réalisés dans la découverte du processus par lequel les cellules des îlots de Langerhans se développent naturellement dans l’organisme, il est désormais possible de reproduire de nombreuses étapes de ce processus en laboratoire avec des cellules souches cultivées, pour aboutir à des îlots de Langerhans producteurs d’insuline. Cette recherche permettra d’améliorer les approches actuelles de fabrication de cellules d’îlots en incorporant une morphogenèse définie qui se produit au cours du développement normal des îlots. De cette manière, nous pouvons établir un modèle expérimental et biomimétique d’îlot humain à partir de cellules souches en laboratoire. Ce nouveau système modèle servira ensuite de plateforme pour faciliter les études visant à expliquer les mécanismes de la maladie du pancréas et à tester de nouvelles thérapies pour promouvoir la (re)génération d’îlots.

FRDJ Canada et le Réseau de cellules souches annoncent le deuxième récipiendaire de la bourse de recherche J. Andrew McKee sur le diabète de type 1

23 octobre 2023 (Ottawa/Toronto) – FRDJ Canada et le Réseau de cellules souches ont le plaisir d’annoncer la Dre Sing-Young Chen comme récipiendaire de la bourse J. Andrew McKee 2023 (DT1). L’annonce a été faite aujourd’hui à Toronto lors des Till & McCulloch Meetings, la principale conférence canadienne sur les cellules souches et la médecine régénérative.

La bourse de recherche J. Andrew McKee sur le diabète de type 1 vise à accélérer la recherche canadienne, à développer le talent et à renforcer le leadership mondial du Canada dans la recherche sur le DT1. Le programme de bourses de recherche est nommé en l’honneur et à la mémoire de John Andrew McKee, ancien président et chef de la direction de FRDJ et membre et président de longue date du conseil d’administration du Réseau de cellules souches. Andrew a joué un rôle important dans le développement de l’avenir des deux organisations et croyait profondément au rôle important de la science pour faire du Canada un meilleur endroit pour tous.

Les travaux de la Dre Chen sont axées sur la compréhension des différences entre les sexes en ce qui concerne la résistance des cellules bêta aux stress associés au DT1. Dans le diabète de type 1, les cellules bêta qui sécrètent l’insuline sont soumises à de nombreux stress – par exemple, elles sont attaquées par le système immunitaire et la demande d’insuline est élevée. Les îlots pancréatiques féminins sont plus résistants à ces stress que les îlots masculins et peuvent survivre pour continuer à produire de l’insuline. Les recherches de la Dre Chen visent à comprendre et à exploiter ces différences entre les sexes en vue de développer des thérapies cellulaires qui prospéreront dans un corps avec le DT1.

Les recherches de la Dre La Dre Chen a obtenu son diplôme de premier cycle à l’université de Sydney, où elle a étudié en biochimie et en physiologie. Pendant ses études de premier cycle, elle a eu la chance de participer à un programme de recherche d’été à l’université Vanderbilt, et c’est là qu’elle a commencé à s’intéresser à la biologie des îlots de Langerhans. Elle a ensuite fait son doctorat à l’université de Nouvelle-Galles du Sud, où elle a étudié l’obésité et les maladies liées à l’obésité, en mettant l’accent sur la physiologie et le développement de médicaments.

Les recherches de la Dre La Dre Chen est actuellement en formation postdoctorale à l’UBC où elle étudie les différences entre les sexes dans les réponses des îlots au stress, dans l’espoir de mettre au point de nouveaux traitements pour le diabète de type 1.

En bref :

  • Le DT1 est une maladie auto-immune qui affecte la vie quotidienne d’environ 300 000 Canadiennes et Canadiens. Il survient lorsque le système immunitaire de l’organisme attaque et détruit les cellules du pancréas qui fabriquent l’insuline.
  • La thérapie par cellules souches est extrêmement prometteuse pour le traitement des personnes atteintes de diabète, car elle permet à l’organisme de recommencer un jour à produire sa propre insuline.
  • La bourse J. Andrew McKee sur le diabète de type 1, soutenue par FRDJ et le RCS, accordera une bourse d’un an par année jusqu’en 2026, d’une valeur de 60 000 dollars canadiens par année, à un boursier travaillant au Centre d’excellence FRDJ à l’Université de la Colombie-Britannique. L’ouverture des candidatures pour la bourse 2024 est prévue pour le 1er novembre 2023.
  • Le Centre d’excellence FRDJ à l’université de la Colombie-Britannique a été créé en décembre 2021 et se concentre exclusivement sur la recherche visant à guérir le DT1. 

Citations :

« Au nom de tous les membres du Réseau de cellules souches, je tiens à féliciter chaleureusement la Dre Chen. Les travaux de la Dre Chen, qui nous permettent de mieux comprendre la biologie des cellules des îlots de Langerhans, représentent une étape cruciale dans notre quête incessante d’une thérapie de guérison pour le diabète de type 1, une maladie qui affecte la vie de plus de 300 000 Canadiennes et Canadiens. Nous sommes honorés de perpétuer l’héritage du regretté Andrew McKee grâce à notre partenariat continu avec FRDJ Canada, qui soutient les boursiers de recherche qui se consacrent à l’avancement des traitements et des thérapies pour le diabète de type 1. Andrew avait la conviction inébranlable que les avancées innovantes seraient forgées par la prochaine génération d’esprits brillants. Nous sommes fiers de participer à cette aventure qui vise à faire de la vision d’Andrew une réalité. » – Cate Murray, présidente-directrice générale du Réseau decellules souches

« Andrew McKee a été un leader influent pour FRDJ et une force motrice importante pour le type de recherche sur le DT1 que cette bourse soutient. Nous sommes ravis de poursuivre notre partenariat avec le RCS afin d’offrir de nouvelles possibilités aux stagiaires du Centre d’excellence de FRDJ à l’université de la Colombie-Britannique, qui, en plus de ses objectifs de recherche passionnants, offre un programme de formation multidisciplinaire exceptionnel. Les travaux de la Dre Chen nous aideront à mieux comprendre les mécanismes qui sous-tendent les cellules bêta, ce qui nous rapprochera de plus en plus de la guérison du diabète de type 1. » – Jessica Diniz, présidente et co-cheffe de la direction, FRDJ Canada

« Nous nous lançons tous dans la science avec le grand espoir d’avoir un impact réel et de changer des vies pour le mieux. Cette bourse me permet d’y parvenir, non seulement grâce à un financement, mais aussi en connectant d’incroyables réseaux de scientifiques, de cliniciens et de parties prenantes pour partager des connaissances et des idées qui font avancer la recherche dans les bonnes directions. La science est souvent décrite comme un sport d’équipe, mais c’est bien plus que cela : c’est un conglomérat d’équipes diverses, colorées et passionnées qui travaillent toutes ensemble à la poursuite d’un objectif commun, et je suis ravie d’en faire partie! » – Dre Sing-Young Chen, nouvelle récipiendaire de la bourse J. Andrew McKee sur le diabète de type 1

À propos du Réseau de cellules souches : Le Réseau de cellules souches (RCS) est un organisme canadien à but non lucratif qui soutient la recherche sur les cellules souches et la médecine régénérative, la formation de la prochaine génération de personnel hautement qualifié, ainsi que la mobilisation et le transfert des connaissances en matière de recherche sur les cellules souches et la médecine régénérative. Du laboratoire à la clinique, l’objectif du RCS est de mettre au point des thérapies et des technologies qui sauvent des vies grâce à la recherche en médecine régénérative, pour le bénéfice de tous. Créé en 2001 avec le soutien du gouvernement canadien, le Réseau est passé de quelques dizaines de laboratoires à plus de 270 groupes de recherche de classe mondiale, soutenant plus de 250 projets de recherche et 30 essais cliniques. Depuis sa création, plus de 25 entreprises de biotechnologie ont été catalysées ou renforcées et plus de 6 400 personnes hautement qualifiées ont été formées. En 2021, le gouvernement du Canada a témoigné de sa confiance et de son soutien au RCS en investissant 45 millions de dollars pour la période 2022-2025.

À propos de FRDJ FRDJ est la plus importante organisation internationale de financement des recherches sur le diabète de type 1 (DT1). Notre objectif est d’amasser des fonds pour soutenir la recherche internationale la plus avancée sur le DT1 et d’éliminer progressivement l’impact de cette maladie dans la vie des gens – jusqu’à ce que nous parvenions à un monde sans cette maladie. FRDJ collabore avec un large éventail de partenaires et est la seule organisation à disposer des ressources scientifiques, de l’influence réglementaire et d’un plan de travail pour mieux traiter, prévenir et, éventuellement, guérir le DT1. Pour plus d’information, visitez frdj.ca.

Contact du RCS pour les médias :

Samantha Rae Ayoub

Vice-présidente, Communication et mobilisation des connaissances
srae@stemcellnetwork.ca

Contact de FRDJ pour les médias : Ruth Kapelus
Gestionnaire nationale du contenu et des relations avec les médias
rkapelus@jdrf.ca

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