Un médicament contre le psoriasis s’avère prometteur pour le traitement du diabète de type 1

Une nouvelle étude révèle que l’ustekinumab, un médicament couramment utilisé pour traiter le psoriasis, pourrait aider les enfants et les adolescents atteints de diabète de type 1 à continuer à produire de l’insuline plus longtemps. 

Les résultats d’un essai clinique appelé USTEKID, publiés dans la revue Nature Medicine, suggèrent que l’ustekinumab pourrait être efficace pour traiter les premiers stades du diabète de type 1 chez les enfants et les adolescents. 

Protéger les cellules productrices d’insuline 

Cofinancée par notre société affiliée de FRDJ au Royaume-Uni, l’étude a démontré que l’ustekinumab est efficace pour préserver la capacité de l’organisme à produire de l’insuline en présence de diabète de type 1, ce qui rapproche l’objectif de gérer le diabète de type 1 sans insuline. Au terme de 12 mois, les participants qui ont pris l’ustekinumab ont présenté des taux de peptide C, un signe que l’organisme produit de l’insuline, supérieurs de 49 % à ceux du groupe qui ont pris un placebo. 

L’étude a montré que l’ustekinumab réduisait l’impact destructeur des cellules immunitaires spécifiques sur les cellules bêta productrices d’insuline. Le médicament s’attaque au processus immunitaire sous-jacent à l’origine du diabète de type 1, ce qui le différencie des injections d’insuline qui comblent le manque d’insuline chez les personnes atteintes de diabète de type 1. 

Réduire les besoins en insuline 

La Dre Danijela Tatovic, qui a dirigé le projet de recherche, explique : « Le diabète de type 1 est causé par l’attaque du système immunitaire qui détruit les cellules productrices d’insuline dans l’organisme. Les personnes en viennent à devenir dépendantes d’injections d’insuline. Les chercheurs mettent actuellement au point des moyens pour ralentir ou stopper l’attaque du système immunitaire. Si ces traitements peuvent être amorcés à un stade précoce, avant que toutes les cellules productrices d’insuline ne soient perdues, ils pourraient prévenir ou réduire le besoin d’insuline. » 

L’essai clinique USTEKID 

Dirigé par des chercheurs de l’Université Cardiff, l’essai clinique a testé l’ustekinumab auprès de 72 jeunes âgés de 12 à 18 ans dans les 100 jours qui ont suivi leur diagnostic de diabète de type 1. Dans des universités et des hôpitaux au Royaume-Uni, les adolescents ont reçu des injections d’ustekinumab ou d’un placebo à sept reprises sur une période de 44 semaines. Les participants ont également fourni des échantillons de sang et d’urine et ont répondu à trois courts questionnaires.  

Au Canada, une étude financée par FRDJ teste l’ustekinumab chez des adultes, dans les 100 jours suivant leur diagnostic de diabète de type 1. Le médicament étant déjà autorisé au Canada, si les résultats de l’essai cliniques sont positifs, le passage à l’utilisation clinique serait non seulement faisable, mais rapide. 

Cet essai clinique de phase II/III se déroule à BCDiabetes à Vancouver, sous la direction de Tom Elliott, MBBS, et à l’Université de Toronto, sous la direction de Bruce Perkins, M.D. et titulaire d’une maîtrise en santé publique, tous deux au Canada. Au total, 60 participants âgés de 18 à 25 ans seront inscrits.  

Une subvention de FRDJ soutient également le travail de Megan Levings, Ph. D., et son équipe à l’Institut de recherche de l’Hôpital pour enfants de la Colombie-Britannique, dans le but d’harmoniser les biomarqueurs de réponse dans les essais cliniques au Canada et au Royaume-Uni, augmentant ainsi la taille de l’échantillon afin d’établir plus rapidement si la thérapie est efficace pour le DT1.  

Qu’est-ce que l’ustekinumab ? 

L’ustekinumab est une immunothérapie établie, c’est-à-dire qu’elle cible les cellules immunitaires dans l’organisme. Il est utilisé au Canada par les personnes atteintes de maladies immunitaires, notamment le psoriasis de sévérité élevée, la polyarthrite psoriasique, la maladie de Crohn grave et la colite ulcéreuse grave. Le médicament est administré sous forme d’injection, que les personnes peuvent faire elles-mêmes à la maison.  

Médecine de précision 

La Dre Megan Levings, qui a travaillé au volet canadien de l’étude, explique : « Nous travaillons depuis plus d’une décennie sur l’idée qu’un médicament comme l’ustekinumab pourrait être bénéfique pour traiter le diabète de type 1, c’est pourquoi les résultats de cette étude sont si passionnants. La contribution de mon équipe a consisté à mettre en place des tests sanguins pour mesurer l’effet de l’ustekinumab sur le système immunitaire. Il s’est avéré que les résultats de ces tests étaient très importants pour établir les enfants qui réagissaient le mieux au médicament. L’immunologie personnalisée en action! »   

Financement crucial de FRDJ au Royaume-Uni 

L’essai clinique USTEKID fournit les premières preuves cliniques du rôle de ce type de cellules immunitaires en présence de diabète de type 1. L’identification des cellules immunitaires spécifiques qui causent des dommages aux cellules bêta productrices d’insuline pourrait ouvrir la voie à des thérapies précises et ciblées afin de maximiser les bénéfices et de minimiser les effets secondaires pour les personnes vivant avec le diabète de type 1. 

Le professeur Tim Tree, qui a dirigé l’équipe de recherche au King’s College de Londres, a dit : « Le financement de FRDJ Royaume-Uni a été déterminant pour les expériences sur les biomarqueurs dans le cadre du projet, au cours duquel nous avons examiné des échantillons de sang des participants à l’essai clinique. C’est ce qui a permis d’établir un lien entre une réduction de ces cellules et des résultats favorables chez les patients traités avec le médicament. Cela offre la possibilité de personnaliser le traitement pour les personnes les plus susceptibles d’en bénéficier ou de tester de nouvelles thérapies qui pourraient cibler cette population de cellules plus rapidement et plus efficacement. »  

Des recherches supplémentaires sont nécessaires 

Bien que l’essai clinique démontre des avantages à utiliser l’ustekinumab pour traiter le diabète de type 1, d’autres essais cliniques sont nécessaires pour confirmer ces résultats et établir les patients qui pourraient en bénéficier le plus. Les chercheurs espèrent également vérifier si ce médicament pourrait être utilisé pour traiter les personnes à des stades plus précoces du diabète de type 1, avant qu’elles n’aient besoin d’un traitement à l’insuline. 

Pour en savoir plus sur la façon de participer aux essais cliniques sur l’ustekinumab au Canada, consultez notre Localisateur d’essais cliniques sur le DT1

Les visages de la Campagne pour accélérer de 100 millions $ : L’histoire de Bonnie

Bonnie avec son mari, Brian

La Campagne pour accélérer de 100 millions $ est le plan de financement audacieux de FRDJ pour accélérer les recherches afin de vivre dans un monde sans DT1. Notre campagne est divisée en six piliers de soutien clés pour accélérer la découverte de thérapies de guérison, tout en améliorant des vies en attendant. Grâce aux donateurs dévoués de FRDJ et aux bénévoles comme Bonnie, cette campagne de dons majeurs a permis de recueillir plus de 78 millions $, permettant de financer plus de recherches sur le DT1 que jamais auparavant.

Le fils de Bonnie, Bryn, a reçu le diagnostic de DT1 en 1990, peu après son cinquième anniversaire de naissance. Il n’y avait pas d’antécédents de diabète connus dans la famille et Bonnie n’était pas au courant des signes et des symptômes à surveiller. Bryn ne se sentait pas bien depuis un certain temps et n’avait que très peu d’énergie. Il adorait courir et jouer avec ses amis à la garderie, mais Bonnie a remarqué qu’il avait du mal à suivre. C’est alors qu’elle a su que quelque chose n’allait pas.

Après avoir amené Bryn au cabinet du médecin, ils ont dû se rendre au laboratoire pour une analyse de sang. Bonnie raconte : « J’ai vraiment eu peur pour mon petit garçon. J’ai compris que nous devions savoir [s’il était atteint de DT1], et je me sentais tellement mal pour lui et dans mon cœur de mère, je redoutais de lui faire passer un test sanguin ».

Le médecin a appelé Bonnie pour l’informer que la glycémie de Bryn était très élevée. Elle a dû préparer un sac pour la nuit immédiatement et amener Bryn à l’hôpital. À l’époque, les enfants qui recevaient un diagnostic de DT1 étaient habituellement hospitalisés pendant environ un mois. Bonnie ne voulait pas laisser le jeune Bryn tout seul, alors chaque matin, elle rassemblait ses trois autres enfants, toujours en pyjamas, et se rendait directement à l’hôpital. Finalement, ils se sont tous installés dans la chambre d’hôpital de Bryn, essayant d’en faire une aventure amusante pour les enfants. La salle de jeux de l’hôpital et la télévision furent de petites choses qui ont grandement aidé la famille à traverser cette période difficile.

« Les premiers temps ont été très difficiles », raconte Bonnie. « J’étais tellement bouleversée que je n’en pouvais plus. Je ne savais pas quoi faire pour survivre, et je me disais que cet enfant allait avoir besoin de tous ces soins et repas spéciaux et de tant d’autres choses. J’y arrivais déjà à peine avec quatre jeunes enfants, c’était beaucoup ».

Bonnie et sa famille sont retournées à la maison au bout de deux semaines, ils étaient tous très fiers de Bryn. Il y aura de nombreuses « premières fois » auxquelles cette mère d’un enfant atteint de DT1 devra faire face, comme la première fois où Bonnie a accidentellement administré trop d’insuline à Bryn. Elle a paniqué, pensant que tout était fini. Bonnie explique qu’elle a fait face à de nombreuses situations traumatisantes au début, mais que la famille s’est peu à peu habituée à la vie avec le DT1.

La fille de Bonnie, Jillian, a également reçu le diagnostic de DT1 (à l’âge de 16 ans), mais la maladie a été détectée beaucoup plus tôt parce que Bonnie connaissait les symptômes du DT1. Pourtant, un an plus tard, Jillian se sentait à nouveau mal en point. Ils n’arrivaient pas à en trouver la cause, jusqu’à ce qu’on lui diagnostique une maladie cœliaque, une autre maladie auto-immune plus fréquente chez les personnes atteintes de DT1.

La famille de Bonnie s’est impliquée auprès de FRDJ en participant à la Marche pour la guérison du diabète FRDJ à Regina, Saskatchewan, deux ans après le diagnostic de Bryn. Au fur et à mesure que les membres de la famille en apprenaient davantage sur FRDJ, ils ont voulu s’engager plus activement en tant que bénévoles et alliés. Ils ont constaté que les progrès comme les pompes à insuline, qui ont facilité la prise en charge du DT1 de Bryn, avaient été rendus possibles en partie grâce aux recherches financées par FRDJ.

« Grâce aux contributions de FRDJ aux recherches, notre famille est une heureuse histoire de réussite », dit Bonnie. « Mais il y a encore du travail à faire. C’est pour cela que j’ai décidé de me joindre à la Campagne pour accélérer de 100 millions $ de FRDJ Canada. Je veux aider à recueillir des fonds pour les recherches à l’échelle mondiale et à remercier les incroyables donateurs de FRDJ par l’entremise du comité de fidélisation des donateurs.

FRDJ a aussi parlé de certaines études à la famille de Bonnie, dont TrialNet, laquelle permettrait de dépister les auto-anticorps de DT1 chez les cinq autres enfants de la famille. Ils ont découvert que le plus jeune, Burke, présentait un risque élevé de développer un DT1. Heureusement, il n’est toujours pas atteint de DT1 aujourd’hui à l’âge de 28 ans, et pourrait avoir la possibilité de retarder l’apparition éventuelle du DT1 grâce à des thérapies émergentes qui modifient la maladie.

Les enfants de Bonnie se portent bien aujourd’hui et font d’elle une fière grand-maman. Avec quinze petits-enfants, Bonnie aimerait s’appuyer sur les recherches existantes pour détecter le DT1 à un stade précoce, le maintenir à distance et l’arrêter avant qu’il ne se manifeste, afin qu’ils puissent vivre dans un monde sans cette maladie. Elle espère que les recherches continueront de progresser de sorte que Bryn et Jillian n’aient plus à subir les hauts et les bas (de leur glycémie) ou à surveiller leur glycémie en permanence. Qu’il s’agisse de technologies comme les pompes à insuline hybrides en boucle fermée, de greffes de cellules souches ou d’immunothérapies, Bonnie est convaincue que nous sommes tout près de thérapies de guérison.

« Nous sommes sur le point d’y arriver, améliorons les choses », dit Bonnie.« Une guérison pour le diabète n’est peut-être pas la définition courante du terme “guérison”, mais nous sommes si près de permettre aux personnes atteintes de DT1 de vivre sans avoir besoin de technologies ni d’insuline. Sachez que grâce à votre soutien financier, les recherches sur le DT1 pourront progresser rapidement vers cet objectif.

Joignez-vous à la communauté exceptionnelle de philanthropes de FRDJ

Les dons majeurs (5 000 $ et plus) versés dans le cadre de notre campagne permettent de faire progresser les recherches révolutionnaires pour améliorer la vie des personnes atteintes de DT1, comme Bryn et Jillian, et des parents comme Bonnie et d’innombrables autres personnes touchées par cette maladie.

Pour en savoir plus sur la manière dont vous pouvez faire un investissement significatif dans notre Campagne pour accélérer de 100 millions $, contactez Kim Lacombe, vice-présidente, Philanthropie, à kim.lacombe@jdrf.ca.

Un défi de 50 jours pour tripler l’impact des donateurs sur les recherches

-Helen Keller, défenseure des droits des personnes en situation de handicap

Depuis sa fondation il y a 50 ans, FRDJ Canada a contribué à alimenter presque tous les progrès des recherches sur les soins et la guérison du diabète de type 1 (DT1), mobilisant la communauté du DT1, les donateurs, les chercheurs et les partenaires financiers pour travailler à la réalisation d’une même vision : un monde sans DT1.

Par l’entremise de notre partenariat avec le gouvernement fédéral, les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) versent un montant équivalent à tous les investissements des donateurs dans des subventions de recherches canadiennes à fort impact dans le domaine du DT1, ce qui signifie que les dons versés dans le cadre de ce partenariat ont deux fois plus d’impact sur les recherches cruciales sur le DT1. 

Dons X 3

Pendant 50 jours, le double de l’impact deviendra le triple de l’impact grâce à l’incroyable générosité de l’un des membres dévoués de notre conseil d’administration qui versera une somme équivalente à tous les dons à la Campagne pour accélérer (5 000 $ et plus) dans le cadre du Partenariat pour vaincre le diabète FRDJ-IRSC, jusqu’à concurrence de 1 million $. Avec l’aide des donateurs, nous pouvons transformer 1 million $ en 3 millions $ pour les recherches de pointe au Canada. 

Ce financement multiplié par trois permettra de financer des projets novateurs dans les thérapies cellulaires, la médecine de précision, la santé mentale et le dépistage national du DT1 qui font progresser les soins, les traitements précoces et les voies prometteuses vers des thérapies de guérison pour le DT1.

Pour en savoir plus ou pour faire un don majeur qui sera multiplié par trois, contactez Kim Lacombe.

EN SAVOIR PLUS  

Thérapies de guérison

Le Dr James Shapiro tente d’établir si les cellules sanguines d’une personne (reprogrammées en cellules sous forme d’îlots pour la transplantation) peuvent être utilisées comme base de la thérapie plutôt que les tissus de donneurs.

« Je suis très enthousiaste quant aux progrès des recherches sur le DT1, surtout depuis les cinq dernières années. Mais je crois qu’une guérison est réellement à notre portée. Cela nécessitera un effort de collaboration scientifique intense et beaucoup de financement, mais je crois fermement que c’est possible et que cela se produira », affirme le Dr James Shapiro, Université de l’Alberta.

La Dre Cristina Nostro teste des îlots de Langerhans issus de cellules souches génétiquement modifiées pour la transplantation, laquelle ne nécessiterait pas les médicaments immunosuppresseurs qui sont habituellement requis lors du processus de remplacement de cellules.

« Au cours des 20 dernières années, nous avons appris à différencier les cellules souches [en cellules bêta], et maintenant, nous les utilisons en clinique et elles donnent les résultats que nous voulions. L’avenir est prometteur. C’est vraiment très encourageant », déclare la Dre Cristina Nostro, Université de Toronto.

Gestion du DT1

Le Dr Farid Mahmud a récemment publié les résultats d’un essai clinique montrant qu’un médicament, la dapagliflozine, peut améliorer le contrôle de la glycémie et la santé des reins chez les jeunes atteints de DT1. Le Dr Mahmud dirige également l’étude EVERYONE, qui examine l’impact de la diversité sur la gestion du diabète chez les jeunes, dans le but de personnaliser les soins pour obtenir de meilleurs résultats.

« Nous explorons des moyens d’optimiser les soins et de prévenir les complications. Nous travaillons avec des patients partenaires – des familles et des parents – et toutes nos études sont conçues avec ces partenaires afin de développer les meilleures idées en matière de soins », dit le Dr Farid Mahmud, SickKids.

Santé mentale

La Dre Holly Witteman est en train de créer un programme national de soutien par les pairs, fondé sur la recherche et dirigé par des personnes atteintes de DT1, afin d’améliorer la santé mentale et la qualité de vie des personnes atteintes de DT1.

« En tant que scientifique atteinte de diabète de type 1 depuis l’enfance, je sais à quel point il est important de pouvoir entrer en contact avec d’autres personnes qui comprennent vraiment la vie avec le DT1. Le projet CommuniT1D vise à fournir un soutien utile et durable par les pairs aux personnes atteintes de DT1 et à leur famille partout au Canada, afin que personne ne se sente seul », dit la Dre Holly Witteman, Université Laval.

Détection précoce

FRDJ et les IRSC ont lancé l’an dernier un consortium de recherche sur le dépistage du DT1 à l’échelle nationale, dans l’espoir de mettre en œuvre le dépistage dans la population générale afin d’aider à éliminer les complications liées au diagnostic qui mettent la vie en danger et d’instaurer de futures thérapies d’intervention précoce pour retarder l’apparition du DT1.

« Ce projet me tient particulièrement à cœur parce que mon fils a reçu le diagnostic de diabète de type 1 alors qu’il n’avait que deux ans. Il était extrêmement malade et son corps était affaibli. La vie a changé, et je n’avais aucune idée qu’il y avait même une possibilité de DT1 dans notre famille, affectée par la rafle des années 60.  J’espère identifier les obstacles et fournir des ressources tout en apportant un soutien aux personnes atteintes de diabète et en favorisant les relations entre les communautés autochtones et les chercheurs ». – Sasha Delorme, Diabète Action Canada, responsable de recherche autochtone, CanScreenT1D FRDJ-IRSC.

Collectivement, les projets financés par les donateurs dans le cadre du partenariat entre FRDJ et les IRSC ont un impact profond aujourd’hui tout en soutenant les futures percées dans le domaine du DT1.

FRDJ travaille avec les leaders bénévoles à sa Campagne pour accélérer afin de maximiser cette remarquable possibilité de triple jumelage, laquelle entraînera d’importants progrès dans les recherches canadiennes et aura une incidence positive sur la vie de près de 300 000 personnes atteintes de DT1 à l’échelle du pays.