Un siècle après la découverte de l’insuline, les membres de FRDJ sont heureux d’annoncer les résultats du premier vote annuel Au-delà de l’insuline pour la recherche.
Trente-sept membres fondateurs se sont engagés à offrir des dons annuels récurrents, à soutenir la recherche sur le diabète de type 1 (DT1) lequel change la vie, et à fournir un financement stable aux avancées les plus prometteuses vers une guérison.
Après une brève présentation de trois projets de recherche encourageants, les membres ont assisté à une présentation virtuelle de la recherche dirigée par la directrice scientifique de FRDJ Canada, la docteure Sarah Linklater, pour en apprendre davantage. Ces mêmes membres ont ensuite eu l’occasion, pour la première fois, de voter, personnellement ou par procuration, pour gérer les fonds collectifs des membres d’Au-delà de l’insuline.
« Notre petite-fille a reçu le diagnostic du diabète DT1 à l’âge de 2 ans. Aussi dévastateur que cela puisse être de recevoir une nouvelle d’un tel diagnostic sur le diabète, je pense qu’il faut se remettre au travail et se débrouiller avec les conseils, la formation, la recherche et l’aide de ses fournisseurs de soins médicaux. Il est rare qu’une famille puisse avoir une influence en matière d’orientation sur la recherche. Au-delà de l’insuline a motivé notre contribution et notre participation. » – Membre anonyme d’Au-delà de l’insuline
Avec plus de la moitié des voix, les fonds de cette année seront dirigés vers le pilier CREATE qui est le nom donné à la recherche du Dr Francis Lynn, lequel dirige une équipe de six autres chercheurs principaux de l’Université la Colombie-Britannique, de l’Université Carleton et de l’Université de l’Alberta afin d’accélérer le passage des thérapies à base de cellules souches pour le T1D, du laboratoire à la clinique.
« J’ai été heureux de pouvoir juger les projets et de voter pour celui qui a été préféré. Bien entendu, le choix a été difficile, car les trois projets ont une valeur pour la communauté des personnes atteintes du diabète DT1, » a déclaré Monica Seger, membre d’Au-delà de l’insuline. L’an prochain, les membres d’Au-delà de l’insuline bénéficieront à nouveau de la possibilité d’accélérer le financement d’un projet de recherche pré-approuvé. Plus le nombre de membres augmente, plus les possibilités de financement augmentent, ce qui nous aide à aller plus loin dans Au-delà de l’insuline.
Que signifierait une guérison?
« Cela signifierait un soulagement, une joie et une liberté pour toute la famille. Mais, une importance plus grande serait l’impact qu’il aurait sur la qualité de vie dans l’avenir, pour ma petite-fille au début de l’âge adulte et au-delà. UNE VIE NORMALE ! Cela signifierait un apaisement du stress pour ses parents, ce qui se poursuivra tout au long de la vie sans le traitement. Mon épouse et moi-même encourageons tout le monde à se joindre à Au-delà de l’insuline. »
La mission de FRDJ, qui consiste à améliorer la vie des personnes atteintes du diabète de type 1 et à guérir la maladie ne se fait pas en solitaire. Cela nécessite un engagement avec des intervenants qui croient en ce que nous avons l’intention de faire et qui peuvent nous aider à faire avancer notre mission – et ce groupe comprend les organismes de réglementation. À FRDJ nous sommes conscients de l’importance de son engagement auprès des organismes de réglementation afin d’ouvrir et offrir des voies claires et raisonnables pour les activités de recherche scientifique, l’approbation de traitements médicaux et la guérison des maladies du diabète de type 1.
C’est pourquoi que, le 24 février 2021, on a eu le plaisir à FRDJ de réunir des organismes de réglementation, des chercheurs, des représentants de l’industrie, des organismes de lutte contre le diabète et des patients canadiens pour promouvoir le dialogue, pour échanger des connaissances et d’entendre parler directement des traitements nouveaux et émergents pour le DT1, cela lors de notre deuxième symposium sur la recherche, organisé en partenariat avec Santé Canada.
Notre premier symposium de recherche a eu lieu en 2018, et comme nous commémorons cette année le 100e anniversaire de la découverte de l’insuline, cela était normal d’en organiser un autre. Cette année, l’événement est passé à un format virtuel, mais avec le même résultat, attirant des présentateurs et des participants de tout le pays.
Deux thèmes majeurs du Dr Norman Rosenblum, directeur de l’Institut de recherche en santé du Canada (IRSC), et du Dr Rémi Rabasa-Lhoret de l’Université de Montréal, ils ont ouvert la voie aux séances interactives suivantes.
Le docteur Rosenblum a fait un tour d’horizon concernant le fardeau du plus lourd du diabète au Canada et de la façon dont notre organisme fédéral de financement de la santé fait la lutte contre le diabète en 2021, grâce à un certain nombre de possibilités de financement stratégique, — incluant ceux en partenariat avec FRDJ.
Le docteur Rémi Rabasa-Lhoret a prononcé un discours passionnant sur la COVID-19 et le DT1, mettant l’accent sur les personnes atteintes du DT1 lesquelles courent un risque plus élevé de complications graves liées à la COVID-19.
Après les discours d’ouverture, trois séances interactives simultanées ont eu lieu, chacune portant sur un thème distinct important pour la communauté des personnes atteintes de DT1, et chacune mettant en vedette un conférencier de Santé Canada.
La première, intitulée Aller au-delà de l’insulinothérapie d’aujourd’hui Moving Beyond Insulin Therapy of Today, mettait l’accent sur les traitements d’appoint à l’insuline, les traitements en boucle fermée, les progrès réalisés dans le remplacement des cellules bêta et le traitement de l’hypoglycémie grave, en mettant en évidence le glucagon nasal.
La deuxième séance était dédiée à l’innovation des dispositifs en matière de gestion du DT1, laquelle traitait l’interopérabilité des dispositifs, l’administration automatisée de l’insuline, la cybersécurité des dispositifs médicaux et le point de vue de la communauté des personnes atteintes de DT1.
La troisième session, consacrée à l’immunothérapie et aux marqueurs biologiques, a principalement porté sur la prévention du DT1, les progrès dans le développement de l’amélioration des biomarqueurs, la thérapie spécifique aux antigènes pour les DT1 et la réglementation des produits d’insuline.
Durant les trois sessions on a abordé les thèmes qui englobent l’importance du choix du patient, de l’accès aux dispositifs et aux médicaments susceptibles d’alléger le fardeau de la gestion de la maladie et de réduire les complications, ainsi que de la nécessité d’accélérer la recherche du laboratoire aux essais cliniques. Les séances ont été suivies de tables rondes et de questions-réponses avec le public, ce qui avait pour but l’identification des obstacles et de permettre la promotion de nouvelles solutions identifiées pour le DT1 vers la clinique.
Les exposés de cet événement ont été l’occasion de mettre en évidence des recherches canadiennes diverses et passionnantes sur les thérapies émergentes pour le DT1 qui seront importantes pour toutes les personnes qui sont touchées par cette maladie – que ce soit vous, un parent, un membre de la famille, un médecin ou un chercheur.
À FRDJ on est reconnaissant envers Santé Canada pour son leadership dans les nombreux domaines de la science et de la réglementation qui ont fait l’objet des discussions, pour sa collaboration pour avoir rendu possible cet événement et pour sa détermination dans l’amélioration de la vie des Canadiens atteints de diabète.
Merci encore à tous ceux pour le partage de leur temps et leur expertise et qui ont participé à la conférence. L’ampleur et le rythme de la recherche sur le DT1 au Canada sont impressionnants.
Il aurait été impossible de tenir cet événement sans le généreux soutien de nos partenaires du secteur de l’apprentissage, Medtronic, Abbott, Dexcom et Eli Lilly.
Merci également à Santé Canada pour son partenariat et au personnel de FRDJ qui a travaillé sans relâche pour avoir organisé cet événement.
La mission de FRDJ, qui consiste à améliorer la vie des personnes atteintes du diabète de type 1 et à guérir la maladie ne se fait pas en solitaire. Cela nécessite un engagement avec des intervenants qui croient en ce que nous avons l’intention de faire et qui peuvent nous aider à faire avancer notre mission – et ce groupe comprend les organismes de réglementation. À FRDJ nous sommes conscients de l’importance de son engagement auprès des organismes de réglementation afin d’ouvrir et offrir des voies claires et raisonnables pour les activités de recherche scientifique, l’approbation de traitements médicaux et la guérison des maladies du diabète de type 1.
C’est pourquoi que, le 24 février 2021, on a eu le plaisir à FRDJ de réunir des organismes de réglementation, des chercheurs, des représentants de l’industrie, des organismes de lutte contre le diabète et des patients canadiens pour promouvoir le dialogue, pour échanger des connaissances et d’entendre parler directement des traitements nouveaux et émergents pour le DT1, cela lors de notre deuxième symposium sur la recherche, organisé en partenariat avec Santé Canada.
Notre premier symposium de recherche a eu lieu en 2018, et comme nous commémorons cette année le 100e anniversaire de la découverte de l’insuline, cela était normal d’en organiser un autre. Cette année, l’événement est passé à un format virtuel, mais avec le même résultat, attirant des présentateurs et des participants de tout le pays.
Deux thèmes majeurs du Dr Norman Rosenblum, directeur de l’Institut de recherche en santé du Canada (IRSC), et du Dr Rémi Rabasa-Lhoret de l’Université de Montréal, ils ont ouvert la voie aux séances interactives suivantes.
Le docteur Rosenblum a fait un tour d’horizon concernant le fardeau du plus lourd du diabète au Canada et de la façon dont notre organisme fédéral de financement de la santé fait la lutte contre le diabète en 2021, grâce à un certain nombre de possibilités de financement stratégique, — incluant ceux en partenariat avec FRDJ.
Le docteur Rémi Rabasa-Lhoret a prononcé un discours passionnant sur la COVID-19 et le DT1, mettant l’accent sur les personnes atteintes du DT1 lesquelles courent un risque plus élevé de complications graves liées à la COVID-19.
Après les discours d’ouverture, trois séances interactives simultanées ont eu lieu, chacune portant sur un thème distinct important pour la communauté des personnes atteintes de DT1, et chacune mettant en vedette un conférencier de Santé Canada.
La première, intitulée Aller au-delà de l’insulinothérapie d’aujourd’hui Moving Beyond Insulin Therapy of Today, mettait l’accent sur les traitements d’appoint à l’insuline, les traitements en boucle fermée, les progrès réalisés dans le remplacement des cellules bêta et le traitement de l’hypoglycémie grave, en mettant en évidence le glucagon nasal.
La deuxième séance était dédiée à l’innovation des dispositifs en matière de gestion du DT1, laquelle traitait l’interopérabilité des dispositifs, l’administration automatisée de l’insuline, la cybersécurité des dispositifs médicaux et le point de vue de la communauté des personnes atteintes de DT1.
La troisième session, consacrée à l’immunothérapie et aux marqueurs biologiques, a principalement porté sur la prévention du DT1, les progrès dans le développement de l’amélioration des biomarqueurs, la thérapie spécifique aux antigènes pour les DT1 et la réglementation des produits d’insuline.
Durant les trois sessions on a abordé les thèmes qui englobent l’importance du choix du patient, de l’accès aux dispositifs et aux médicaments susceptibles d’alléger le fardeau de la gestion de la maladie et de réduire les complications, ainsi que de la nécessité d’accélérer la recherche du laboratoire aux essais cliniques. Les séances ont été suivies de tables rondes et de questions-réponses avec le public, ce qui avait pour but l’identification des obstacles et de permettre la promotion de nouvelles solutions identifiées pour le DT1 vers la clinique.
Les exposés de cet événement ont été l’occasion de mettre en évidence des recherches canadiennes diverses et passionnantes sur les thérapies émergentes pour le DT1 qui seront importantes pour toutes les personnes qui sont touchées par cette maladie – que ce soit vous, un parent, un membre de la famille, un médecin ou un chercheur.
À FRDJ on est reconnaissant envers Santé Canada pour son leadership dans les nombreux domaines de la science et de la réglementation qui ont fait l’objet des discussions, pour sa collaboration pour avoir rendu possible cet événement et pour sa détermination dans l’amélioration de la vie des Canadiens atteints de diabète.
Merci encore à tous ceux pour le partage de leur temps et leur expertise et qui ont participé à la conférence. L’ampleur et le rythme de la recherche sur le DT1 au Canada sont impressionnants.
Il aurait été impossible de tenir cet événement sans le généreux soutien de nos partenaires du secteur de l’apprentissage, Medtronic, Abbott, Dexcom et Eli Lilly.
Merci également à Santé Canada pour son partenariat et au personnel de FRDJ qui a travaillé sans relâche pour avoir organisé cet événement.
Pour en savoir plus sur les conférenciers et pour visionner les enregistrements, cliquez ici.
Le jour de l’Halloween ne sera jamais le même pour Conrad Pow, car c’est le jour en 2018 où sa fille Chloe a obtenu un diagnostic de diabète de type 1 (DT1).
« Alors que les autres enfants avaient hâte de faire la tournée des maisons et de manger des bonbons, nous étions en route vers l’unité d’urgence. » Le diagnostic a été un choc. Conrad était constamment inquiet. Selon lui, la décision la plus difficile a été de renvoyer Chloe à la maternelle après avoir appris le diagnostic. Et si quelque chose lui arrivait? À l’école, une infirmière devait vérifier son taux de glucose et lui faire des injections d’insuline. Mais, ses proches auraient-ils su quoi faire si son taux de glucose chutait dangereusement bas?
Conrad était déterminé à trouver les meilleurs outils pour contrôler le diabète pour sa fille. Il affirme que tout a changé lorsque Chloe a commencé à utiliser le système Dexcom G6 de surveillance du glucose en continu. En portant un capteur et en ayant toujours son téléphone intelligent avec elle, Chloe n’a plus besoin de se piquer au bout des doigts* et des alertes se déclenchent lorsque son taux de glucose franchit des seuils qui nécessitent une attention particulière. Pour Conrad, l’application Dexcom Follow† a vraiment tout changé, puisqu’elle lui permet de voir le taux de glucose de Chloé à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, même lorsqu’il n’était pas avec elle.
« Puisque nous pouvons voir les taux de glucose de Chloe à distance, nous pouvons lui accorder plus de liberté et offrir à notre famille une plus grande tranquillité d’esprit. C’est fantastique. »
Pour Conrad, il est primordial que Chloe puisse faire tout ce que sa grande sœur Kaitlyn est capable de faire et de lui permettre d’être pleinement une enfant.
« Lorsque les filles partent ensemble pour une balade à vélo ou vont chez une amie pour passer la nuit, je peux toujours garder un œil sur le taux de glucose de Chloe de chez moi. Je veux la protéger, mais je veux aussi qu’elle soit enfant. » Chez les Pow, explorer et créer des souvenirs a toujours été au cœur de leur façon de vivre. « Le Dexcom G6 nous donne plus de confiance pour vivre pleinement notre vie, tout en faisant ce qui doit être fait pour que Chloe puisse contrôler le diabète. Je ne pourrais pas être plus fier d’avoir une enfant de six ans aussi résiliente et heureuse. »
Pour en savoir plus au sujet du Dexcom G6, consultez le site https://www.dexcom.com/fr-CA ou demandez un échantillon gratuit à votre professionnel de la santé.
* Si les alertes et les résultats de glucose Dexcom G6 ne correspondent pas aux symptômes ou aux attentes, un lecteur de glycémie doit être utilisé pour toute décision thérapeutique liée au diabète.
† La fonction de suivi exige l’application Dexcom Follow et une connexion Internet. Les abonnés doivent toujours confirmer les résultats à l’aide de l’application Dexcom G6 avant de prendre des décisions thérapeutiques.
Le mois dernier, dans le cadre de la campagne #AccèsPourTousde FRDJ, les Britanno-Colombiens touchés par le diabète de type 1 (DT1) se sont joints à des défenseurs des droits des patients, à des cliniciens et à des représentants élus afin de discuter des avantages des systèmes de surveillance du glucose en continu (SGC) et flash de surveillance du glucose (FSG), et du besoin que ces technologies soient couvertes par le régime d’assurance-médicaments de la Colombie-Britannique.
Près d’une douzaine de députés ont pris part à la série de quatre parties avec d’autres participants, ce qui a donné lieu à une discussion animée et stimulante.
Des douzaines de personnes de tous les âges et milieux ont raconté leurs expériences personnelles avec les appareils SGC et FSG, et du pouvoir qu’ont ces technologies de sauver des vies, et aussi de changer des vies.
Les témoignages étaient touchants et percutants, et ont réitéré une fois de plus le besoin crucial d’une couverture provinciale pour ces appareils :
« Nous avons une technologie qui permet aux voitures de se déplacer toutes seules, mais nous tirons de l’arrière pour des appareils qui peuvent sauver des vies. »
Sophie Orth :
« J’ai reçu le diagnostic à l’âge de trois ans. J’ai eu leprivilège d’avoir un SGC et un FGS toute ma vie pour m’aider à gérer mon diabète. Mais en raison de circonstances imprévues, ma famille avait peine à payer pour la technologie des SGC et FSG et j’ai dû retourner à la méthode des piqûres au doigt. Je dois maintenant voir mon médecin chaque semaine, ce qui est extrêmement difficile puisque j’en suis à ma dernière année d’études pour l’obtention de mon diplôme. Nous ne savons pas quoi faire. »
Alyssa Florence :
« Une nuit, ma mère n’arrivait pas à me réveiller. J’étais pâle, j’avais froid, j’avais un immense mal de tête, j’ai perdu la vision et je n’arrivais plus à bouger. Ma mère m’a emmenée à l’hôpital et le docteur lui a dit que tous les organes de mon corps étaient attaqués par l’acide dans mon sang. Si ma mère ne m’avait pas emmenée à l’urgence, je ne crois pas que je serais ici pour vous raconter cette histoire. Dire qu’un SGC aurait évité tout cela. Nous avons une technologie qui permet aux voitures de se déplacer toutes seules, mais nous tirons de l’arrière pour des appareils qui peuvent sauver des vies. »
Lisa Macdonell :
« Le SGC me coûte 300 $ par mois, en plus des 8 000 $ par année pour gérer mon diabète. Je suis à la retraite et j’ai de la difficulté à payer un SGC. Mon corps ne me dit pas quand ma glycémie baisse, alors sans SGC, je ne peux pas participer à des activités ordinaires comme faire une randonnée ou conduire. Je paie le SGC de ma poche parce que cet appareil m’est nécessaire pour rester en vie. Les alertes du SGC me permettent de dormir toute la nuit et de me sentir en sécurité. »
Miguel Alvarez :
« Lorsqu’on vit avec le DT1, tous les jours ne se ressemblent pas. Cette maladie est omniprésente, il faut la surveiller jour et nuit, pour le reste de la vie. Lorsque je pense à mes 51 dernières années avec cette maladie, le SGC fut la plus importante amélioration dans mes traitements. Le SGC est déterminant pour m’aider à gérer ma maladie, mais il aide aussi les médecins à prendre des décisions mieux informées grâce à des données précises. J’ai de la chance de pouvoir compter sur une bonne couverture de mon employeur pour réduire les coûts, mais comment se peut-il que seules les personnes qui en ont les moyens peuvent mener une meilleure vie? Les avantages sont évidents et le moment est venu d’agir pour changer cela. »
Quelle est la suite?
Accès pour tous, notre campagne pour rendre les SGC et les FSG abordables et accessibles pour toutes les personnes atteintes de DT1 s’intensifie en Colombie-Britannique. À l’heure actuelle, ni le SGC ni le FSG ne sont couverts par le régime d’assurance-médicaments de la Colombie-Britannique. Le remboursement de ces appareils est à l’étude par le gouvernement de la Colombie-Britannique et le ministre de la Santé, Adrian Dix, a suggéré dans le passé que la couverture pourrait être offerte cette année. Nous vous tiendrons informés des progrès de cette campagne.
Si vous ne l’avez pas déjà fait, écrivez à votre député(e) pour lui expliquer que les Canadiennes et les Canadiens ont besoin d’avoir accès aux systèmes de surveillance du glucose en continu et flash de surveillance du glucose. Sophie, Alyssa, Lisa, Miguelet des milliers d’autres Canadiennes et Canadiens atteints de diabète de type 1 ont besoin de votre aide pour vivre mieux, en meilleure santé et en plus grande sécurité.
Prenez quelques minutes pour envoyer votre message maintenant et partagez cette intervention avec votre famille et vos amis.
Notre campagne #Accèspourtous s’est révélée très active, trouvant de nouvelles façons créatives de défendre nos intérêts auprès des fonctionnaires au niveau provincial malgré les contraintes de la COVID-19. À tous ceux qui nous ont soutenus en offrant leur temps, leurs talents ou leurs dons, merci.
Voici un aperçu de nos efforts les plus récents pour réclamer des technologies de gestion du diabète abordables et accessibles à tous les Canadiens atteints du DT1.
Vous vous souvenez peut-être de notre dernière mise à jour que le Yukon a bénéficié d’un #AccèsPourTous, grâce aux efforts de défense d’intérêts des adultes, parents et autres personnes affectés par le diabète de type 1 (DT1). Le gouvernement du Yukon a décidé de rembourser intégralement la surveillance du glucose en continu (SGC) et le flash de surveillance du glucose (FSG) pour les personnes de tout âge.
Nous étions également heureux que toutes les parties de la Saskatchewan se soient entendues sur une plus grande couverture.
C’était une excellente nouvelle pour les personnes atteintes de diabète de type 1 vivant au Yukon et en Saskatchewan.
Manitoba
Nos efforts de défense d’intérêts au Manitoba continuent de se concentrer sur une extension de la couverture des pompes à insuline aux plus de 18 ans (pour en apprendre davantage sur cette question, cliquez ici.
FRDJ réclame un plan « fait au Manitoba » pour soutenir les Manitobains dans notre prochaine proposition budgétaire.
Nous y demandons que le gouvernement supprime les restrictions d’âge actuelles pour les pompes à insuline et étende la couverture à tous les âges.
Nous demandons aussi qu’il investisse dans la couverture publique de la surveillance du glucose en continu (SGC) et du flash de surveillance du glucose (FSG) pour tous les âges. Ce projet améliorerait considérablement la qualité de vie et les résultats médicaux des Manitobains atteints du DT1 mais permettrait également de mettre sur pied un système de soins de santé plus équitable et plus innovant, au même titre que les autres provinces et territoires.
Nous espérons nous appuyer sur le succès des efforts de défense d’intérêts des parents et des élèves au Yukon et en Saskatchewan pour que le Manitoba ne soit pas délaissé.
Colombie-Britannique
Du 26 janvier au 4 février, nous avons organisé quatre événements communautaires en ligne qui ont invité les membres de la communauté du DT1 de la C-B et les donateurs de FRDJ à afficher leur soutien à #AccèsPourTous. Ces événements ont été organisés afin d’envoyer un message clair au gouvernement de la C-B pour qu’il couvre le SGC et le FSG dans le cadre du régime d’assurance-médicaments de la C-B.
Du 26 janvier au 4 février, nous avons organisé quatre événements communautaires en ligne qui ont invité les membres de la communauté du DT1 de la C-B et les donateurs de FRDJ à afficher leur soutien à #AccèsPourTous. Ces événements ont été organisés afin d’envoyer un message clair au gouvernement de la C-B pour qu’il couvre le SGC et le FSG dans le cadre du régime d’assurance-médicaments de la C-B.
Le gouvernement de la C-B envisage sérieusement une couverture pour ces technologies et ces événements ont été organisés pour s’assurer que la question reste au premier plan afin de garantir la couverture dont les personnes atteintes du diabète de type 1 (DT1) ont besoin.
Les événements ont eu lieu dans la Vallée Fraser, le Nord et l’Île, les terres intérieures – mardi 2 février et le littoral de Vancouver.
Nous espérons qu’en envoyant un message fort aux représentants de la C-B, nous verrons un engagement à financer ces dispositifs dans le prochain budget provincial.
Recommandations pré-budgétaires soumises au gouvernement de l’Ontario
Nous continuons notre défense d’intérêts auprès du gouvernement de l’Ontario pour étendre l’accès aux dispositifs au-delà du FSG (actuellement couvert pour les moins de 25 ans, les personnes handicapées ou les bénéficiaires de l’aide sociale qui n’ont pas d’assurance privée et les plus de 65 ans) et pour inclure également le financement des dispositifs de SGC (surveillance du glucose en continu).
Notre proposition pré-budgétaire reconnaissait également que les soins virtuels se sont généralisés pendant la COVID-19 et qu’ils se poursuivront probablement une fois la pandémie terminée. Les soins virtuels associés à l’accès aux dispositifs de SGC et de FSG réduisent à la fois les répercussions sur le système de santé et la médecine de couloir. Cela présente des avantages sanitaires et économiques pour la province.
Mise à jour de Brooke Roche, MBA, BEDS – Membre du Conseil jeunesse du Premier ministre
Brooks Roche, défenseur bénévole de FRDJ, a été extrêmement occupé à s’adresser aux membres des gouvernements de l’Î-P-É et de T-N-L. et aux députés fédéraux pour réclamer une couverture complète de FSG, SGC et des pompes à insuline dans le Canada atlantique.
En septembre, le Conseil jeunesse du Premier ministre s’est réuni pour discuter d’un large éventail de sujets avec le Premier ministre, dont la mise en place d’une stratégie nationale sur le diabète. Brooks a présenté un dossier fiscal, un dossier social et un dossier sur les célébrations pour une action globale, et en réponse, le Premier ministre s’est engagé à militer pour la mise en œuvre du Diabète 360⁰ et à en discuter avec les ministres Hajdu et Freeland lors de leurs prochaines réunions. Brooke participera également aux prochaines discussions avec le Premier ministre et la ministre Qualtrough sur la Prestation d’invalidité canadienne mentionnée dans le discours du Trône.
Brooks fait un travail de défense d’intérêts extraordinaire et nous lui en sommes très reconnaissants.
Lisez ici son article publié sur CBC News pour souligner le 100ème anniversaire de la découverte de l’insuline et l’appel à l’action pour une stratégie nationale sur le diabète ici.
Si vous souhaitez agir, envoyez un courriel à votre représentant provincial, en demandant une couverture accessible et universelle du SGC et du FSG dès aujourd’hui.
Nos jeunes ambassadeurs se sont virtuellement rendus sur la Colline du Parlement en 2020
Notre Journée de mobilisation des enfants pour une guérison – édition de la maison a été réussie. Au cours de la semaine du 2 novembre, les délégués se sont joints à FRDJ pour son programme annuel de Journée de mobilisation des enfants pour une guérison. Cette année, à cause de la COVID, l’événement s’est déroulé virtuellement.
La Journée de mobilisation des enfants pour une guérison est une initiative conçue pour faire prendre conscience des défis quotidiens auxquels sont exposées les personnes atteintes du diabète de type 1 (DT1) et de la nécessité de multiplier les activités de recherche canadienne dans ce domaine. Tout au long de la semaine, nos jeunes ambassadeurs racontent aux députés et aux sénateurs ce que c’est que de vivre avec le DT1.
La présentation du budget fédéral deFRDJ a souligné le 100ème anniversaire de la découverte de l’insuline et a mis l’accent sur le fait qu’elle reste le seul traitement pour les personnes atteintes de diabète et qu’elle ne constitue pas une thérapie de guérison. Si la technologie a considérablement amélioré la vie des personnes atteintes du DT1, il est maintenant temps de poursuivre plus activement les activités de recherche de thérapies de guérison.
Les trois recommandations suivantes ont été soumises, avec pour preuves à l’appui les avantages qu’elles offrent pour la santé des Canadiens atteints du DT1 et pour l’économie.
Recommandation 1 :Le gouvernement du Canada devrait honorer le centenaire de la découverte de l’insuline l’année prochaine en renouvelant de 15 millions de dollars l’investissement dans les activités de recherche dans le cadre du Partenariat pour vaincre le diabète FRDJ-IRSC, investissement qui sera égalé par FRDJ et ses partenaires.
Recommandation 2 :Comme le recommande le premier rapport annuel du Comité consultatif des personnes handicapées (CCPH), les Canadiens qui ont besoin d’une thérapie de survie, notamment l’insulinothérapie, devraient automatiquement bénéficier du crédit d’impôt pour personnes handicapées (CIPH).
Recommandation 3 :Comme le recommande le Comité permanent de santé dans Une stratégie sur le diabète pour le Canada, le gouvernement canadien devrait investir dans la mise sur pied d’une stratégie nationale sur le diabète (Diabète 360⁰) avec des résultats précis pour les différents types de diabète.
Le 8 mars marque la Journée internationale des femmes (JIF) dans le monde entier. Le thème de la campagne 2021 est #Choisissonsdecombattre
« Un monde qui présente des défis est un monde vigilant. En tant qu’individu, nous sommes tous responsables de nos pensées et de nos actions – toute la journée, chaque jour. Nous pouvons tous choisir de combattre et de dénoncer les préjugés et l’inégalité entre les sexes. Nous pouvons tous choisir de chercher et de célébrer les accomplissements des femmes. Ensemble, nous pouvons tous contribuer à créer un monde inclusif. Le changement naît du combat, alors choisissons tous de combattre». https://www.internationalwomensday.com/
FRDJ est heureuse de relever le défi en célébrant les réalisations de nos chercheuses. Nous sommes le principal organisme caritatif de financement des recherches sur les thérapies de guérison et les thérapies de modification de la maladie pour le diabète de type 1 (DT1). Parmi les nombreuses personnes qui travaillent sans relâche pour aider à créer un monde sans DT1, on trouve un certain nombre de femmes exceptionnellement talentueuses.
Faites connaissance avec certaines de nos chercheuses :
Dre Gillian Booth, chercheuse financée par FRDJ au Centre for Urban Health Solutions du Li Ka Shing Knowledge Institute de l’Hôpital St Michael à Toronto, et une équipe de chercheurs visent à améliorer le contrôle du glucose et les expériences des patients en ayant recours à des technologies modernes pour optimiser la façon dont les soins de santé sont prodigués aux personnes atteintes du DT1.
Yi-Chun Chen, Ph.D., est une boursière postdoctorale de l’Université de Colombie-Britannique. Elle a obtenu un baccalauréat en sciences de laboratoire médical à la Taipei Medical University à Taïwan, une maîtrise en sciences de biologie cellulaire à l’Université du Connecticut et un doctorat en physiologie cellulaire et intégrative à l’Indiana University School of Medicine aux États-Unis.
Jayne Danska, Ph.D., est titulaire de la chaire de recherche Anne et Max Tanenbaum en médecine moléculaire. Elle est professeure à la Faculté de médecine à l’Université de Toronto et scientifique principale au Hospital for Sick Children. Par ses recherches, elle aborde l’idée que l’importante augmentation du nombre de maladies auto-immunes et inflammatoires depuis les 50 dernières années est causée, en partie, par les changements dans notre exposition aux microbes. Elle étudie le rôle de la communauté de microbes de l’intestin humain (le microbiome) dans la variation des risques et la progression du DT1. L’objectif ultime de son travail vise à trouver de nouveaux traitements pour prévenir la maladie.
Heather Denroche (C-B), Ph.D., est une boursière postdoctorale de la Faculté de médecine à l’Université de Colombie-Britannique. Elle étudie actuellement une hormone du nom de polypeptide amyloïde des îlots pancréatiques (IAPP), produite par les cellules bêta pancréatiques et libérée en réponse à des taux élevés de glucose afin de mieux comprendre son rôle dans la perte de cellules bêta menant à l’apparition du DT1 ainsi que dans les îlots issus de cellules souches.
Suheda Erener, Ph.D., est associée de recherche à la Faculté de médecine de l’Université de Colombie-Britannique. Sa recherche met l’accent sur la mise au point de biomarqueurs capables de prédire le développement du DT1. Elle étudie également le rôle des ARN non codants dans la disparition des cellules bêta durant la pathogenèse du DT1 afin de dévoiler les voies de transmission pour arrêter la destruction des cellules bêta et/ou améliorer la survie et les fonctions des cellules bêta.
Kirsten Ward Hartstonge, Ph.D., est une boursière postdoctorale de l’Université de Colombie-Britannique. Sa recherche met l’accent sur le rôle des lymphocytes T régulateurs (Treg) dans les maladies humaines comme le DT1. Elle étudie les moyens d’utiliser le nombre et la fonction des Treg en tant que biomarqueurs afin de prédire si un patient réagira ou non à un traitement.
Ya-Ching (Amanda) Huang, Ph.D., MSN, RN, est une chercheuse focalisée sur l’autogestion du diabète et sur les enjeux de santé publique touchant les populations mal desservies. Elle étudie l’association entre les activités physiques, le sommeil et la gestion du diabète ; leurs mécanismes psychosociaux ; et les programmes qui sont culturellement adaptés pour aider à améliorer la qualité de vie des patients ainsi que l’efficacité des aidants.
Megan Levings, Ph.D., du Children’s Hospital Research Institute de la Colombie-Britannique, en collaboration avec le Dr Jan Dutz (C-B), étudie si l’administration d’un anticorps appelé ustekinumab (inclure le lien du blogue ici lorsqu’il sera prêt) chez les adultes et les enfants ayant récemment reçu un diagnostic de DT1 peut protéger les cellules bêta productrices d’insuline.
Despoina Manousaki, Ph.D., est une boursière postdoctorale à l’Université McGill et une chercheuse à l’Hôpital général juif (Institut Lady Davis) à Montréal. Son étude récemment publiée a démontré que de faibles taux de vitamine D ne sont pas associés à une augmentation de la probabilité du DT1.
Kathy McCoy, Ph.D., est professeure au Département de physiologie et de pharmacologie, membre du Snyder Institute for Chronic Diseases et directrice de l’International Microbiome Center à l’Université de Calgary. Elle s’intéresse à l’interaction dynamique du microbiote intestinal et des systèmes immunitaires inné et adaptatif aux sites mucosaux et systémiques. Ses travaux visent à comprendre comment l’exposition aux microbes intestinaux, en particulier au début de la vie, forme et régule le système immunitaire et comment elle peut influencer la vulnérabilité à des maladies dont le DT1.
Adriana Migliorini, Ph.D., est une boursière postdoctorale du Réseau universitaire de santé qui travaille dans l’équipe de Madame Nostro pour étudier la transplantation des îlots et les thérapies par les cellules souches de donneurs universels.
Maria Cristina Nostro (ON), Ph.D., est une chercheuse principale au Centre de médecine régénérative McEwen au Réseau universitaire de santé et professeure agrégée à l’Université de Toronto. Son équipe et elle ont reçu des fonds qui leur permettront d’utiliser de nouvelles stratégies de transplantation et les cellules souches de donneurs universels pour mettre au point un produit supérieur semblable aux îlots qui nécessitera peu ou pas d’immunosuppression chez les personnes atteintes du DT1.
Dre Tricia Tang est professeure agrégée à la division de l’endocrinologie, Faculté de médecine, à l’Université de Colombie-Britannique. Également psychologue clinique agréée et spécialiste du comportement, elle possède plus de 20 ans d’expérience dans le développement et l’évaluation de modèles durables à faible coût pour améliorer les résultats de santé à long terme liés au diabète chez les groupes de patients qui présentent des risques élevés et sont mal desservis d’un point de vue médical. Elle a récemment reçu la subvention Telehealth in Type 1 Diabetes Behavioral Health and Psychology (télésanté et psychologie pour la santé comportementale en contexte de diabète de type 1) de FRDJ pour mettre au point une plateforme de soins virtuels visant à améliorer la santé mentale chez les personnes qui vivent avec la maladie dans les régions rurales et éloignées de la Colombie-Britannique. Cliquez ici pour visionner son récent FB Live sur la santé mentale et le T1D.
« La santé mentale est la pierre angulaire de l’autogestion de toute maladie chronique, en particulier le diabète. Bien qu’un nombre impressionnant d’adultes atteints de diabète déclarent souffrir de cette maladie, moins de la moitié d’entre eux cherchent à obtenir des conseils. Les fournisseurs de soins de santé ne sont pas officiellement formés aux aspects psychosociaux et comportementaux du diabète et n’ont donc pas les compétences nécessaires pour aborder ces préoccupations avec les patients. Plus problématique encore, il y a une pénurie de psychologues cliniques spécialisés dans le diabète au Canada. Il est essentiel que nous élaborions et mettions en place des initiatives de formation pour satisfaire les besoins de la communauté des diabétiques en matière de santé mentale. » – Dre Tricia Tang
Notre conseillère scientifique en chef, Sarah Linklater, Ph.D., nous aide à définir nos priorités de financement de la recherche qui déterminent celle sur le DT1 au Canada et dans le monde, tout en communiquant les dernières mises à jour à nos donateurs, à nos partisans et à la communauté du DT1 .
« Je suis si fière de faire partie de cette organisation qui contribue au changement et travaille à la croisée de la recherche mondiale de pointe et de la communauté du DT1. Chaque journée est enrichissante car j’ai vraiment le sentiment que nous faisons des progrès réels et rapides vers l’amélioration des vies et, au final, vers la guérison du DT1. » -Dre Sarah Linklater
Nous reconnaissons également les nombreuses autres femmes qui travaillent à FRDJ, font du bénévolat et amassent des fonds. Ensemble, nous #choisissonsdecombattre le DT1 et nous visons à mettre un point final au diabète de type 1.
Quiconque est atteint de diabète de type 1 (DT1) entendra de plus en plus souvent le mot « biosimilaire » maintenant que les brevets de certaines insulines biologiques viennent à échéance. L’expiration des brevets veut dire que les versions biosimilaires de ces insulines peuvent être approuvées et certaines se trouvent déjà sur le marché nord-américain. Comment ces versions biosimilaires se distinguent-elles cependant des insulines déjà sur le marché? Conviennent-elles pour gérer votre diabète de type 1 (DT1)?
Voyez ci-dessous si ces produits sont pour vous.
Qu’est-ce qu’un médicament biologique?
Pour bien comprendre ce qu’est un biosimilaire, nous devons d’abord expliquer ce qu’est un médicament biologique. Les médicaments biologiques sont des produits qui proviennent d’organismes vivants ou qui contiennent des éléments d’organismes vivants, de sorte qu’ils sont plus complexes que les médicaments de synthèse. Un médicament biologique de référence est la première version d’un médicament biologique approuvé par Santé Canada.
L’insuline, d’autres hormones comme les hormones de croissance ou les hormones thyroïdiennes et les traitements aux anticorps sont des exemples de médicaments biologiques. Ils sont utilisés pour traiter de nombreuses maladies dont l’anémie (carence en fer), le cancer, le diabète, les maladies intestinales inflammatoires (comme la maladie de Chrohn ou la colite), le psoriasis (maladie auto-immune de la peau) et l’arthrite rhumatoïde.
Une fois le brevet d’un médicament biologique échu, une version biosimilaire peut être approuvée et lancée sur le marché.
Que sont les biosimilaires?
Un médicament biologique biosimilaire, communément appelé « biosimilaire », est un médicament qui peut se vendre après l’expiration de brevets de médicaments préexistants.
Un biosimilaire ressemble beaucoup à un médicament biologique dont la vente a déjà été autorisée. Ce dernier est appelé « médicament biologique de référence » parce qu’il est le médicament auquel se compare le biosimilaire. Il est semblable à un générique en vente libre portant la marque d’une pharmacie par rapport à un médicament de marque.
On ne peut cependant pas dire qu’une copie biologique est identique au médicament biologique de référence. Santé Canada autorise la vente des produits biosimilaires en se fondant sur une comparaison approfondie avec un médicament biologique de référence. Il ne doit pas y avoir de différence importante sur le plan clinique entre l’efficacité et la sécurité d’un médicament biosimilaire et celles d’un médicament biologique de référence.
Que sont les insulines biosimilaires?
Les insulines biosimilaires (aussi appelées insulines ultérieures) sont conçues pour ressembler étroitement au médicament biologique de référence décrit dans un brevet.
Les trois produits similaires actuellement sur le marché sont les suivants :
Basaglar (biosimilaire de Lantus [insuline glargine]) – Lilly
Truapi (biosimilaire de NovoRapid [insuline asparte]) – Sanofi-Aventis
Les insulines biosimilaires, une option thérapeutique
L’arrivée des insulines biosimilaires sur le marché comporte à la fois des possibilités et des risques qu’une personne atteinte de diabète doit bien soupeser avant de commencer à utiliser l’insuline biosimilaire ou de passer à cette forme d’insuline.
Les insulines biosimilaires peuvent être une option thérapeutique sûre et efficace pour les personnes atteintes de DT1. Leur introduction sur le marché aide aussi à réduire le coût de l’insuline au Canada et ailleurs dans le monde, ce qui rend l’insuline moins chère pour les patients et les payeurs. Ainsi, les insulines biosimilaires augmenteront à terme l’accessibilité du traitement à l’insuline et offriront plus d’options thérapeutiques aux personnes vivant avec le diabète.
Certains des avantages des insulines biosimilaires seront toutefois annulés si les insulines biologiques de référence cessent de se vendre ou ne sont plus accessibles parallèlement aux insulines biosimilaires, c’est-à-dire si les personnes utilisant de l’insuline sont « forcées » de passer de l’insuline qu’elles utilisent déjà à une insuline biosimilaire en raison de changements dans la disponibilité ou la couverture.
FRDJ appuie d’abord et avant tout le choix dans tous les aspects de la gestion du diabète et milite en faveur de ce choix. La décision d’utiliser l’insuline biosimilaire ou de passer de l’insuline biologique à l’insuline biosimilaire doit être prise par la personne qui vit avec le diabète, en consultation avec son endocrinologue ou son équipe de gestion du diabète.
Pour plus de renseignements sur les insulines biosimilaires, cliquez ici.
Quiconque est atteint de diabète de type 1 (DT1) entendra de plus en plus souvent le mot « biosimilaire » maintenant que les brevets de certaines insulines biologiques viennent à échéance. L’expiration des brevets veut dire que les versions biosimilaires de ces insulines peuvent être approuvées et certaines se trouvent déjà sur le marché nord-américain. Comment ces versions biosimilaires se distinguent-elles cependant des insulines déjà sur le marché? Conviennent-elles pour gérer votre diabète de type 1 (DT1)?
Voyez ci-dessous si ces produits sont pour vous.
Qu’est-ce qu’un médicament biologique?
Pour bien comprendre ce qu’est un biosimilaire, nous devons d’abord expliquer ce qu’est un médicament biologique. Les médicaments biologiques sont des produits qui proviennent d’organismes vivants ou qui contiennent des éléments d’organismes vivants, de sorte qu’ils sont plus complexes que les médicaments de synthèse. Un médicament biologique de référence est la première version d’un médicament biologique approuvé par Santé Canada.
L’insuline, d’autres hormones comme les hormones de croissance ou les hormones thyroïdiennes et les traitements aux anticorps sont des exemples de médicaments biologiques. Ils sont utilisés pour traiter de nombreuses maladies dont l’anémie (carence en fer), le cancer, le diabète, les maladies intestinales inflammatoires (comme la maladie de Chrohn ou la colite), le psoriasis (maladie auto-immune de la peau) et l’arthrite rhumatoïde.
Une fois le brevet d’un médicament biologique échu, une version biosimilaire peut être approuvée et lancée sur le marché.
Que sont les biosimilaires?
Un médicament biologique biosimilaire, communément appelé « biosimilaire », est un médicament qui peut se vendre après l’expiration de brevets de médicaments préexistants.
Un biosimilaire ressemble beaucoup à un médicament biologique dont la vente a déjà été autorisée. Ce dernier est appelé « médicament biologique de référence » parce qu’il est le médicament auquel se compare le biosimilaire. Il est semblable à un générique en vente libre portant la marque d’une pharmacie par rapport à un médicament de marque.
On ne peut cependant pas dire qu’une copie biologique est identique au médicament biologique de référence. Santé Canada autorise la vente des produits biosimilaires en se fondant sur une comparaison approfondie avec un médicament biologique de référence. Il ne doit pas y avoir de différence importante sur le plan clinique entre l’efficacité et la sécurité d’un médicament biosimilaire et celles d’un médicament biologique de référence.
Que sont les insulines biosimilaires?
Les insulines biosimilaires (aussi appelées insulines ultérieures) sont conçues pour ressembler étroitement au médicament biologique de référence décrit dans un brevet.
Les trois produits similaires actuellement sur le marché sont les suivants :
Basaglar (biosimilaire de Lantus [insuline glargine]) – Lilly
Truapi (biosimilaire de NovoRapid [insuline asparte]) – Sanofi-Aventis
Les insulines biosimilaires, une option thérapeutique
L’arrivée des insulines biosimilaires sur le marché comporte à la fois des possibilités et des risques qu’une personne atteinte de diabète doit bien soupeser avant de commencer à utiliser l’insuline biosimilaire ou de passer à cette forme d’insuline.
Les insulines biosimilaires peuvent être une option thérapeutique sûre et efficace pour les personnes atteintes de DT1. Leur introduction sur le marché aide aussi à réduire le coût de l’insuline au Canada et ailleurs dans le monde, ce qui rend l’insuline moins chère pour les patients et les payeurs. Ainsi, les insulines biosimilaires augmenteront à terme l’accessibilité du traitement à l’insuline et offriront plus d’options thérapeutiques aux personnes vivant avec le diabète.
Certains des avantages des insulines biosimilaires seront toutefois annulés si les insulines biologiques de référence cessent de se vendre ou ne sont plus accessibles parallèlement aux insulines biosimilaires, c’est-à-dire si les personnes utilisant de l’insuline sont « forcées » de passer de l’insuline qu’elles utilisent déjà à une insuline biosimilaire en raison de changements dans la disponibilité ou la couverture.
FRDJ appuie d’abord et avant tout le choix dans tous les aspects de la gestion du diabète et milite en faveur de ce choix. La décision d’utiliser l’insuline biosimilaire ou de passer de l’insuline biologique à l’insuline biosimilaire doit être prise par la personne qui vit avec le diabète, en consultation avec son endocrinologue ou son équipe de gestion du diabète.
Pour plus de renseignements sur les insulines biosimilaires, cliquez ici.
Comme c’est le cas pour la plupart des parents dont l’enfant doit composer avec un diagnostic de diabète de type 1, Cindy Voss s’est retrouvée dépassée, anxieuse et épuisée. Mère d’un enfant de 10 ans très actif dont le taux de glucose chutait rapidement et de manière inattendue, Cindy était toujours inquiète. Elle se levait toutes les deux heures pendant la nuit pour piquer son fils Mathew au bout du doigt afin de connaître son taux de glucose. C’est une situation que de nombreux parents d’enfant atteints de DT1 connaissent bien.
Après avoir effectué quelques recherches et consulté le médecin de Mathew, ils ont décidé de faire l’essai du système Dexcom G6 de surveillance du glucose en continu (SGC) – Depuis, tout a changé.
Mathew porte un capteur, sur son abdomen, qui mesure continuellement son taux de glucose, sans avoir à se piquer le doigt*. Ses données de glucose s’affichent sur son téléphone†, et il reçoit des alertes lorsqu’il est trop élevé ou trop bas, ce qui lui permet de réagir en conséquence. Ces alertes sont très précieuses lorsque ses symptômes passent inaperçus.
Puisque Cindy, la mère de Mathew, utilise l’application Dexcom Follow‡, elle peut voir à distance les résultats de glucose de Mathew – qu’il soit à l’école, en train de faire du vélo ou chez un ami. Cindy reçoit également des notifications d’alerte sur le taux de glucose sur son téléphone, ce qui, selon elle, est extrêmement utile – surtout lorsqu’elle n’est pas avec Mathew, tout particulièrement pendant la nuit. Cette application lui permet de dormir plus paisiblement et d’accorder plus de liberté à son fils pour être pleinement un enfant. C’est une véritable bénédiction pour toute la famille.
« Avec la SGC Dexcom, Mathew a beaucoup plus confiance en lui, ce qui me permet d’être beaucoup moins inquiète. La SGC a tout changé pour notre famille. Je ne peux même pas m’imaginer essayer de gérer le diabète de Matthew sans cette technologie. »
Pour savoir si le Dexcom G6 pourrait être un outil précieux pour vous et/ou pour aider votre enfant avec le contrôle du diabète, demandez un échantillon gratuit à votre professionnel de la santé.
Pour en savoir plus au sujet du Dexcom G6, consultez le site www.dexcom.com.
* Si les alertes et les résultats de glucose Dexcom G6 ne correspondent pas aux symptômes ou aux attentes, un lecteur de glycémie doit être utilisé pour toute décision thérapeutique liée au diabète.
‡ Cette fonction nécessite une connexion Internet et l’utilisation de l’application Follow. Les abonnés doivent toujours confirmer les résultats à l’aide du récepteur ou de l’application Dexcom G6 avant de prendre des décisions thérapeutiques.
Un essai clinique financé par FRDJ examine si un médicament modificateur de la maladie (l’ustékinumab, prononcé ous-té-ki-nu-mab) actuellement utilisé pour traiter le psoriasis (maladie de la peau), la maladie de Crohn (maladie inflammatoire chronique de l’intestin) et d’autres maladies auto-immunes pourrait également agir sur le diabète de type 1.
Fabriqué par Janssen et vendu sous la marque de commerce Stelaramd, l’ustékinumab est un anticorps monoclonal qui inhibe deux molécules régulatrices du système immunitaire.
De nombreuses maladies auto-immunes ont des thérapies modificatrices de la maladie en ce sens qu’ils peuvent en ralentir, en arrêter ou en inverser la progression. Le DT1 demeure actuellement l’une des seules grandes maladies auto-immunes pour laquelle il n’existe pas de thérapie modificatrice sous licence.
Aperçu des essais cliniques
Les chercheurs examinent si l’inhibition simultanée de deux voies des cellules immunitaires — l’interleukine-17 et l’interféron gamma, dont on pense qu’elles sont à l’origine du DT1 — peut stopper la progression de la maladie ou la faire régresser chez les participants qui ont récemment reçu un diagnostic de diabète de DT1.
On espère que si le médicament peut bloquer les cellules immunitaires peu après l’apparition du diabète, toute cellule productrice d’insuline restante pourra être protégée et se régénérer. Si tel est le cas et dans un scénario idéal, les cellules bêta restantes produiraient assez d’insuline pour que les personnes atteintes de DT1 aient besoin d’une quantité moindre d’insuline externe pendant une période prolongée, voire n’en aient plus jamais besoin.
Comme l’utilisation du médicament est déjà approuvée au Canada, si les résultats des essais sont concluants, la transition à l’utilisation clinique serait non seulement possible, mais rapide.
Les essais de phase II/III se déroulent à BCDiabetes à Vancouver, sous la direction de Tom Elliott, MBBS, et sous la direction de Bruce Perkins, M.D., MPH, de l’Université de Toronto, tous deux au Canada. Au total, 60 personnes de 18 à 25 ans participent aux essais.
Un essai portant sur l’utilisation de l’ustékinumab chez des adolescents de 12 à 18 ans, dans les 100 jours qui suivent un diagnostic, est également en cours à divers endroits au Royaume-Uni.
Grâce à une subvention accordée par FRDJ à Megan Levings, Ph. D., du BC Children’s Hospital Research Institute, la chercheuse harmonisera les biomarqueurs de la réponse, tant dans les essais cliniques du Canada que ceux du Royaume-Uni, ce qui augmentera la taille de l’échantillon et permettra de déterminer plus rapidement s’il s’agit d’une thérapie efficace dans le cas du DT1.
Une étude pilote menée par Jan Dutz, M.D., qui dirige également l’étude de phase II/III, a montré que l’ustékinumab était sûr pour traiter les participants qui venaient de recevoir un diagnostic de DT1.
Pour en savoir plus sur d’autres essais cliniques, cliquez ici