Les visages de la Campagne pour accélérer de 100 millions $ : L’histoire de Lynn

D’injections d’insuline éprouvantes à la pompe qui lui a sauvé la vie

Lynn Cameron est une ardente défenseure au sein de Percée DT1, déterminée à faire bouger les choses pour la communauté du diabète de type 1 (DT1) au Québec, qui a désespérément besoin d’une couverture publique pour les dispositifs liés au DT1. Lynn vit avec cette maladie auto-immune depuis près de 60 ans, dont une grande partie sans accès à la technologie avancée essentielle à sa santé. Au cours des cinq dernières décennies de son parcours avec le DT1, elle a surmonté d’innombrables obstacles, aggravés par le fardeau de devoir se battre elle-même pour obtenir les soins qu’elle mérite.

Aujourd’hui âgée de 63 ans, Lynn ne bénéficie pas de la couverture publique du Québec en raison de la restriction d’âge imposée par le programme (réservée uniquement aux personnes inscrites avant l’âge de 18 ans, qui sont ensuite couvertes à vie). Elle fait donc partie des plus de 40 000 adultes de la province qui n’y ont pas droit. Cette iniquité repose uniquement sur l’âge au moment du diagnostic. Aucune personne vivant avec le DT1 ne devrait être pénalisée en raison de son âge ou de sa région. C’est pourquoi Lynn continue de prendre la parole pour défendre toutes les personnes vivant avec le DT1, afin que plus personne n’ait à vivre ce qu’elle a vécu. Elle espère que son témoignage contribuera à inspirer un changement essentiel.

Lynn ne se souvient pas de la vie avant le diabète de type 1. « Ça fait tellement longtemps que j’ai arrêté de compter. Je ne me souviens pas de ne pas être diabétique. J’étais jeune. Le seul souvenir que j’ai, c’est ma première injection d’insuline, que mon père m’a administrée », dit-elle.

En 1967, au moment de son diagnostic, les soins et la technologie liés au diabète étaient bien différents. Les seringues permettaient uniquement des doses entières, sans possibilité de demi-unités. Cela signifiait un contrôle réduit sur la quantité d’insuline qu’elle pouvait s’administrer, entraînant ainsi des fluctuations plus importantes de sa glycémie. De plus, les types d’insuline changeaient fréquemment, et Lynn dit avoir été allergique à l’une d’elles (qui n’est plus offerte aujourd’hui). À l’époque, les nutritionnistes n’étaient pas impliqués dans les soins, bien que le calcul des glucides et la compréhension de l’impact des aliments soient essentiels à la gestion du DT1. Tous ces éléments rendaient la vie de Lynn avec le DT1 extrêmement difficile.

« Quand j’ai reçu mon diagnostic, on m’a dit que je devais faire attention à ce que je mange, être active et tout faire comme il faut », explique Lynn. « Mais malgré tout ça, ma glycémie faisait toujours le yo-yo, et ce n’était pas parce que je ne faisais pas ce qu’il fallait. »

Ces défis ont varié au fil des ans, après une enfance difficile marquée par l’adaptation à la vie avec le DT1 et une chirurgie cardiaque subie à l’âge de 10 ans. À l’âge adulte, Lynn profitait de chaque occasion pour être active à l’extérieur, jusqu’à ce que les complications liées au diabète commencent à nuire à sa santé.

En 2012, Lynn a entamé des démarches pour obtenir une pompe à insuline après avoir enduré 45 ans d’injections multiples quotidiennes. Elle a déployé beaucoup d’efforts pour convaincre la RAMQ, le régime public d’assurance maladie du Québec, de couvrir les pompes à insuline. Ce n’est qu’en 2021, après neuf années de défense personnelle, que Lynn a finalement reçu sa pompe à insuline, couverte jusqu’en décembre 2025 — non pas par son propre gouvernement, mais par de donateurs d’une fondation hospitalière.

« Quand j’ai eu la pompe à insuline, les choses ont vraiment changé, et je me suis améliorée », dit Lynn. Depuis qu’elle utilise la pompe à insuline, sa glycémie s’est nettement améliorée.

Récemment, cette technologie lui a également permis de subir une deuxième chirurgie cardiaque, sans laquelle elle ne serait pas en vie aujourd’hui. Les médecins ne permettent pas toujours aux patient·es de porter leur pompe à insuline pendant une opération, ce qui constitue une avancée importante dans les soins du diabète au Québec. À son réveil après l’intervention, Lynn a été choquée de constater que sa glycémie était stable. Elle a demandé au médecin ce qu’il avait fait, et il a répondu que c’était la pompe à insuline, son organe externe, qui avait tout fait. « C’était un cadeau de vie », dit Lynn, « parce que si je n’avais pas été sous pompe à insuline, ils ne m’auraient pas opérée, et je ne serais pas ici. »

C’est pourquoi la défense de l’accès aux dispositifs qui sauvent des vies est si importante pour Lynn. Elle dit : « On est en 2025, ça ne devrait pas se passer comme ça. C’est pour ça que je fais ce que je peux avec Percée DT1 et que je donne de mon temps, à cause de leur mission. Je pense que les pompes à insuline seront temporaires pendant environ 10 ans, et qu’ensuite, on aura probablement une thérapie de guérison. »

Les efforts remarquables de Lynn incluent des rencontres avec des député·e·s de l’opposition officielle à l’Assemblée nationale du Québec pour partager son histoire et faire pression en faveur d’une couverture des pompes à insuline pour les adultes — elle refuse de revenir aux injections multiples quotidiennes lorsque son financement expirera — ainsi que pour des milliers d’autres Québécois·es. Elle a décrit le fardeau des injections multiples quotidiennes, comme le fait d’avoir besoin de 21 aiguilles tous les trois jours, contre une seule avec la pompe, ainsi que l’augmentation du nombre de décisions quotidiennes, qui peut mener à plus d’erreurs dans la gestion du DT1. Lynn affirme son droit de vivre, en signalant à la province que cette situation porte atteinte à son intégrité et à sa dignité. Elle a aussi soutenu la campagne de rédaction de lettres de Percée DT1, contribuant à recueillir des signatures de soutien auprès de député·es locaux·les.

La résilience, la ténacité et le dévouement de Lynn envers sa communauté sont inspirants. Elle espère que le fait de partager son histoire et de plaider pour une meilleure couverture aidera d’autres personnes vivant avec le DT1.

Le financement des donateurs de Percée DT1 a contribué à presque toutes les grandes avancées dans le domaine du DT1 au cours des 50 dernières années. Les généreux donateurs de leadership qui investissent dans notre Campagne pour accélérer de 100 millions $ aident à assurer les découvertes futures en matière de DT1 tout en soutenant des efforts essentiels, comme ceux de Lynn, pour améliorer les soins pour toutes les personnes vivant avec le DT1.

Pour en savoir plus sur la façon de faire partie de cette précieuse communauté de philanthropes qui ont un impact concret pour la communauté du DT1, veuillez contacter :

Kim Lacombe 
Vice-présidente, Philanthropie
klacombe@breakthroughT1D.ca
438-814-1668

Fait au Canada

Le monde est en proie à de grandes incertitudes en ce moment. Les changements surviennent si fréquemment qu’il est parfois difficile de rester bien informé.  

Cependant, Percée DT1 Canada peut vous offrir une certitude : nos chercheurs financés par le Canada réalisent des progrès remarquables et font avancer la recherche sur le diabète de type 1 (DT1) à un rythme impressionnant.  

Aujourd’hui plus que jamais, la recherche progresse à une vitesse fulgurante. Et même si cet élan pourrait ralentir aux États-Unis, nous pouvons le maintenir ici au Canada et continuer à investir dans les découvertes scientifiques qui nous rapprochent des thérapies de guérison pour le DT1. 

Nous savons que de nombreuses personnes se posent des questions sur les effets que ces changements pourraient avoir sur la communauté du DT1, notamment en ce qui concerne les livraisons d’insuline, les dispositifs et autres fournitures de traitement du diabète essentielles. Soyez assurés que nous travaillons activement à recueillir les informations dès qu’elles deviennent disponibles, et que nous continuerons à faire preuve de transparence et à informer la communauté au fur et à mesure.  

On dit souvent que chaque défi peut être une occasion à saisir. C’est l’approche que nous adoptons chez Percée DT1 Canada. 

Le Canada abrite des chercheurs de renommée mondiale spécialisés dans le DT1. C’est au Canada que l’insuline et les cellules souches ont été découvertes, et que le protocole d’Edmonton a été mis au point. Voilà pourquoi nous croyons qu’une thérapie de guérison pour le DT1 « faite au Canada » peut également être découverte ici, chez nous. 

Nous sommes le plus important bailleur de fonds philanthropique de la recherche sur le DT1 au pays. Chaque année, grâce à nos donateurs, nous sommes en mesure de financer des projets qui ont un fort potentiel d’impact, plutôt que de disperser les ressources dans une multitude de petites initiatives. 

Nous mettons tout en œuvre pour que chaque don compte, notamment en misant sur nos partenariats stratégiques comme le Partenariat pour vaincre le diabète IRSC-Percée DT1, ou encore nos collaborations avec la Fondation Brain Canada et le Réseau de cellules souches (RCS). 

Notre organisation a contribué à presque toutes les grandes percées scientifiques dans le domaine du DT1 au cours des 50 dernières années, ce qui témoigne d’un parcours exceptionnel.  

Et nous savons que rien de tout cela ne serait possible sans le soutien de nos défenseur·es d’intérêts et de nos bénévoles. C’est pourquoi nous défendons activement, aux côtés de la communauté canadienne du DT1, l’accès équitable aux traitements, aux dispositifs, au financement de la recherche, aux approbations réglementaires en santé et plus encore, auprès des trois paliers de gouvernement. En cette année électorale fédérale, nous redoublons d’efforts : nos bénévoles de partout au pays font valoir notre mission commune auprès de leurs député·es par des rencontres en personne, des lettres et des campagnes sur les médias sociaux.  

Depuis 2019, notre campagne Accès pour tous vise à convaincre les gouvernements provinciaux d’offrir un accès plus équitable aux dispositifs de traitement du diabète, y compris les insulines, les pompes à insuline et les technologies telles que les dispositifs de surveillance du glucose en continu. 

Vous pouvez consulter les données les plus récentes sur la couverture ici : https://perceedt1.ca/defense-dinterets/accespourtous/carte-des-couvertures/ 

Les résultats de notre financement de la recherche 

Les résultats de notre façon d’investir les dons, ainsi que l’impact de ces investissements, parlent d’eux-mêmes : 

Protocole d’Edmonton  

  • Le Dr James Shapiro (Alberta) a dirigé l’équipe clinique qui a mis au point le révolutionnaire « protocole d’Edmonton » pour la greffe réussie d’îlots de Langerhans, publié pour la première fois en 2000 avec le soutien de Percée DT1 (auparavant FRDJ). Le Canada est l’un des rares pays au monde où la transplantation clinique d’îlots de Langerhans est possible en dehors du cadre de la recherche. 

Thérapies modificatrices de la maladie 

  • Nous investissons dans la recherche sur des thérapies capables de ralentir ou d’arrêter la progression de la maladie – et non seulement d’en traiter les symptômes.  

Remplacement des cellules bêta 

  • Au début des années 2000, Percée DT1 a commencé à investir considérablement dans la recherche sur le remplacement des cellules bêta afin d’aider l’industrie à mettre au point des approches pour remplacer les cellules productrices d’insuline perdues chez les personnes atteintes du DT1. 
  • Le Dr Timothy Kieffer (C.-B.) a été l’un des premiers chercheurs au monde à montrer en 2014 que les cellules souches humaines peuvent être différenciées en cellules productrices d’insuline répondant au glucose. La procédure mise au point par ces chercheurs a ouvert la voie aux essais cliniques actuellement en cours. 
  • Les avancées en matière de thérapies à base de cellules souches pour le DT1 se poursuivent ici même, au Canada. Les essais de Vertex ont jusqu’à présent fait état d’une réduction des besoins en insuline chez plusieurs participants à l’essai, dont trois qui ne prennent plus du tout d’insuline, et n’ont pas soulevé de problèmes de sécurité.  

En chiffres 

  • Percée DT1 Canada s’engage à faire progresser l’excellence en recherche pour toutes les personnes vivant avec le DT1, partout au pays : 
  • 70 subventions de recherche actives au Canada  
  • 10 essais cliniques financés par Percée DT1 actifs au Canada  
  • 10 M$ dans les recherches sur le DT1 au Canada en 2024  

Nous savons que la recherche fonctionne 

Les percées transformatrices que Percée DT1 a contribué à financer — qu’il s’agisse de diagnostics, de médicaments ou de dispositifs — permettent aujourd’hui aux personnes vivant avec le DT1 de vivre plus longtemps et en meilleure santé. Au cours des 50 dernières années de progrès, 25 ans ont été ajoutés à la durée de vie d’une personne recevant les soins les plus récents au Canada. 

Ensemble, avec la communauté canadienne du DT1, nous restons solidaires 

Le Canada continue de jouer un rôle de premier plan dans l’évolution du paysage de la recherche sur le DT1, dans le monde entier. Nous voulons continuer de mettre en lumière la recherche menée par des équipes canadiennes et nos efforts de défense d’intérêts pour veiller à ce que les personnes vivant avec le DT1 ne soient ni oubliées ni laissées pour compte.  

Nous sommes profondément reconnaissants envers nos donateurs, qui continuent de soutenir ce travail essentiel en ces temps incertains. Il est crucial de poursuivre nos investissements dans la recherche canadienne novatrice sur le DT1 et de veiller à ce que le rythme des progrès ne ralentisse pas. 

C’est ensemble que nous ferons la différence.  

Mise à jour excitante sur les recherches liées à un dispositif conçu au Canada 

La Dre Mahla Poudineh (Université de Waterloo), en collaboration avec la Dre Leyla Soleymani (Université McMaster) développe un moniteur de cétone portable en continu, capable de détecter une condition potentiellement mortelle qu’on appelle acidocétose diabétique (ACD). Ce dispositif allie une biologie novatrice (mesure des cétones) à une ingénierie innovante (micro-aiguilles en hydrogel) pour créer un appareil révolutionnaire : l’Aptalyzer portable. 

Biologie : Semblable à un moniteur de glucose en continu (SGC), cet appareil détectera des biomarqueurs dans le liquide interstitiel sous la peau.  La Dre Poudineh et son équipe travaillent à calibrer l’appareil afin qu’il puisse reconnaître et mesurer en temps réel les niveaux de cétone — une mesure qui, à l’heure actuelle, ne peut être effectuée que par des tests urinaires. 

Ingénierie : Le timbre d’un centimètre de la Dre Poudineh offre une solution portable permettant une surveillance continue et en temps réel des biomarqueurs, sans l’inconfort associé aux méthodes actuelles d’insertion de canule. Son timbre breveté est composé de 100 « micro-aiguilles souples » en hydrogel, appliquées sur la peau comme un pansement. Les micro-aiguilles pénètrent la peau de seulement quelques millimètres, ce qui leur permet d’atteindre le liquide interstitiel et de gonfler afin d’augmenter leur surface de contact.   

Ensemble, la Dre Poudineh et la Dre Soleymani ont fondé une entreprise – Aptec – afin de commercialiser cette technologie et de la rendre accessible aux personnes vivant avec le DT1. 

Timbre à micro-aiguilles de la Dre Poudineh

Nouvelle subvention : Nous sommes ravis d’annoncer l’octroi d’une deuxième subvention de la part de Percée DT1 à cette équipe dynamique, qui lui permettra d’élargir ses travaux afin de développer un moniteur d’insuline en continu en utilisant les mêmes méthodes. Cela permettrait aux personnes vivant avec le DT1 de connaître en temps réel la quantité d’insuline présente dans leur organisme — souvent appelée « insuline active » — et d’ajuster plus efficacement leur traitement en fonction des repas ou des activités à venir.  

Visionnez cette vidéo pour en savoir plus :  https://www.linkedin.com/posts/uwaterloo_painless-diabetes-patch-to-replace-needle-activity-7306675563232907265-l1BV?utm_source=share&utm_medium=member_desktop&rcm=ACoAAA2JPFsBifZfTB213DnRbGd_UixBgd0NReg 

Percée DT1 Canada félicite les Dres Poudineh et Soleymani pour leurs récents accomplissements. 

La Dre Mahla Poudineh fait des vagues dans le domaine des dispositifs médicaux et a récemment été nommée titulaire d’une Chaire de recherche du Canada de niveau 2 dans le domaine des dispositifs bionanotechnologiques de surveillance de la santé.  

La Dre Leyla Soleymani est titulaire d’une Chaire de recherche du Canada dans le domaine des dispositifs biomédicaux miniaturisés et a récemment reçu la prestigieuse bourse Dorothy-Killam

Leurs travaux contribueront à améliorer considérablement la vie quotidienne des personnes atteintes de DT1, tout en nous permettant de trouver des thérapies de guérison. 

Mise à jour importante sur les essais de Vertex 

La thérapie à base de cellules souches constitue un vaste domaine de recherche sur la guérison du DT1. L’objectif de cette approche est d’utiliser les cellules souches comme une source renouvelable de cellules productrices d’insuline qui, une fois transplantées, remplaceraient les cellules bêta détruites chez une personne atteinte de DT1, lui permettant ainsi de produire à nouveau de l’insuline. Cela permettrait de réduire ou d’éliminer la quantité d’insuline externe nécessaire à une personne atteinte de DT1 (par injection, stylo ou pompe) pendant des mois, voire des décennies. 

Vertex a mené deux essais cliniques actifs pour la thérapie cellulaire du diabète de type 1 : VX-880 (FORWARD) et VX-264 (UPWARD). Vendredi, Vertex a publié un communiqué de presse avec des mises à jour sur ses produits pour le diabète de type 1 (DT1).  

Après examen, Vertex ne poursuivra pas le programme de développement clinique pour le VX-264. Le VX-264 était la thérapie à base de cellules d’îlots de Langerhans encapsulées de Vertex qui ne nécessite pas de médicaments immunosuppresseurs. Et bien qu’elle ait été généralement sûre et bien tolérée lors des essais cliniques, elle n’a pas atteint le critère principal d’efficacité, tel que mesuré par le peptide C, un biomarqueur des niveaux d’insuline. Cela signifie que les cellules implantées ne produisaient pas suffisamment d’insuline pour justifier la poursuite des essais cliniques. Actuellement, le peptide C est la meilleure mesure pour déterminer si l’insuline est produite chez l’homme. 

Dans le cas du VX-264, les cellules productrices d’insuline étaient placées dans un dispositif protecteur, puis implantées dans le corps. L’analyse des dispositifs d’encapsulation est en cours et pourrait éclairer les stratégies et approches futures. 

Le produit VX-880 a été renommé zimislecel.  Cet essai se poursuit comme prévu, et une demande d’homologation est prévue pour 2026. L’essai pivot de phase 1/2/3 pour le zimislecel se poursuit et respecte le calendrier prévu pour l’inscription des participants et l’administration des doses.   Le zimislecel est la thérapie cellulaire de Vertex destinée aux personnes souffrant d’épisodes sévères d’hypoglycémie (faible taux de glucose dans le sang). Il nécessite l’utilisation d’immunosuppresseurs. 

Les résultats de l’essai en cours avec le VX-880 ont démontré une efficacité et une sécurité prometteuses chez toutes les personnes ayant reçu le traitement. Vertex collabore étroitement avec les autorités réglementaires du monde entier en vue de la soumission et renforce ses capacités de fabrication et de commercialisation afin d’être prête pour le lancement du médicament. 

Vertex demeure résolue à développer des thérapies pouvant offrir des « bienfaits transformationnels » à la communauté du DT1 et explore d’autres moyens de protéger les cellules sans recourir à l’immunosuppression standard. Cela comprend des protocoles d’immunosuppression alternatifs, des thérapies à base de cellules d’îlots de Langerhans fabriquées et modifiées génétiquement pour être hypo-immunes, ainsi que de nouveaux dispositifs pour encapsuler les cellules d’îlots.   

 Il n’existe toujours aucune thérapie cellulaire fabriquée qui soit approuvée pour les personnes vivant avec le DT1. Mais il est très encourageant de voir que Vertex se prépare à soumettre une demande d’homologation l’an prochain et se prépare au lancement commercial. 

Développer des thérapies cellulaires qui rétablissent la production d’insuline sans recourir à l’immunosuppression standard est au cœur du portefeuille de thérapies cellulaires de Percée DT1 et constitue un axe clé de notre stratégie de financement.  

L’abandon du VX-264 souligne l’importance de l’approche globale de Percée DT1, qui vise à explorer plusieurs stratégies pour protéger les cellules sans recourir à l’immunosuppression traditionnelle, y compris celles mises en œuvre par Vertex. 

Qu’est-ce que cela signifie pour les Canadiennes et Canadiens vivant avec le DT1? 

Pour que la thérapie cellulaire soit largement accessible aux personnes atteintes du DT1, le produit cellulaire doit à la fois être efficace et fonctionner sans ou avec des traitements immunosuppresseurs minimaux. Une partie du processus de recherche consiste à s’adapter et à changer d’orientation en fonction des résultats, afin de progresser vers l’objectif final – dans ce cas-ci, des thérapies cellulaires sûres, bien tolérées et, idéalement, sans besoin d’immunosuppression.  

Percée DT1 Canada continuera de surveiller les résultats et de fournir des mises à jour dès qu’ils seront rendus publics. 

Publication de nouvelles lignes directrices de pratique clinique pour le diabète de type 1 

Le 27 mars 2025, Diabète Canada a publié une mise à jour des lignes directrices de pratique clinique pour la gestion de la glycémie tout au long de la vie pour les personnes atteintes de diabète de type 1.  

Que sont des lignes directrices de pratique clinique et que signifient-elles pour les personnes atteintes de diabète de type 1 (DT1)? 

Les lignes directrices cliniques sont les principes directeurs qui permettent aux professionnels de la santé de se tenir au courant des pratiques optimales en matière de gestion et de soins des personnes atteintes de toutes les maladies, y compris le diabète de type 1. Au fur et à mesure que les recherches progressent, tant pour les médicaments que les dispositifs, les cliniciens et les experts dans le domaine du diabète se réunissent pour discuter des meilleures données disponibles et élaborer ou mettre à jour les lignes directrices afin d’optimiser les soins.  

Connaître vos objectifs en matière de diabète dans le contexte de votre vie et de votre situation est la première étape pour décider des options de traitement avec votre équipe soignante. Lorsque vous prenez en charge votre DT1 ou celui d’un membre de votre famille, il est important de vous rappeler que vos objectifs glycémiques doivent être conçus pour s’adapter à votre vie et que les conversations avec votre prestataire de soins de santé vous aideront à comprendre les risques, les avantages et les considérations de toutes les options de traitement offertes.  

La mise à jour des lignes directrices ce mois-ci, la première mise à jour complète depuis 2018, est particulièrement intéressante. Elle met non seulement l’accent sur la gestion des taux de glucose tout au long de la vie, reconnaissant que les enfants, les adolescents et les adultes peuvent tous être atteints de DT1, mais comprend également deux importants et passionnants aspects. 

Quelles sont les nouvelles mises à jour et quel est leur impact sur les Canadiennes et les Canadiens atteints de DT1? 

Un système AAI est un dispositif qui ajuste automatiquement l’administration d’insuline en fonction des taux de glycémie, lesquels sont mesurés par un dispositif de surveillance du glucose y étant relié. On lui a aussi attribué le nom de pancréas artificiel ou de système hybride en boucle fermée, mais la désignation AAI est la terminologie clinique qui a été retenue. 

Les nouvelles lignes directrices recommandent désormais que l’insuline soit idéalement administrée à l’aide d’une pompe à insuline reliée à un glucomètre continu et que ces dispositifs soient offerts à toutes les personnes atteintes de DT1, à condition qu’elles soient disposées à porter le dispositif et à le faire fonctionner : 

Les systèmes d’administration automatisée d’insuline (pompe à insuline et glucomètre continu y étant relié) constituent la méthode de traitement privilégiée pour toutes les personnes afin d’optimiser la glycémie et/ou leurs résultats individuels, à condition qu’elles soient prêtes à porter les dispositifs et capables de les faire fonctionner. 

    Le changement de paradigme est important, car auparavant, on pensait que seules les personnes ayant atteint leurs objectifs glycémiques pouvaient bénéficier de cette technologie avancée. Les systèmes AAI sont bénéfiques pour diverses personnes, quels que soient leurs taux de glucose de base ou de départ, leur âge ou leur statut socio-économique, par exemple. Autrement dit, nous devons changer cette mentalité qui suppose qu’une personne atteinte de DT1 doit « mériter » un système AAI avec une gestion déjà relativement stable. 

    Il a été démontré que les systèmes AAI permettent de maintenir des taux de glucose stables et dans un écart plus sain, tout en améliorant le sommeil et allégeant le fardeau de la gestion quotidienne du diabète (diminuant la peur de l’hypoglycémie et la détresse diabétique, et am la gestion quotidienne du diabète (diminuant la peur de l’hypoglycémie et la détresse diabétique, et améliorant la qualité de vie en général). 

    Traitements d’appoint pour les personnes atteintes de DT1

    La deuxième recommandation digne d’intérêt est la première du genre à l’échelle mondiale : les traitements d’appoint peuvent désormais être envisagés pour les adultes atteints de DT1, sur la base d’une prise de décision partagée avec le prestataire de soins. De nombreuses recherches ont démontré la sécurité et l’efficacité de ces agents non insuliniques, comme la metformine, les agonistes des récepteurs du peptide-1 de type glucagon (GLP1-RA) ou les inhibiteurs des cotransporteurs sodium-glucose de type 2 (iSGLT2), ou ce que vous connaissez peut-être sous le nom d’Ozempic, Wegovy et autres agonistes du GLP-1, dans le cas du diabète de type 1 pour réduire le taux A1c, le poids corporel et les doses d’insuline, lorsqu’ils sont ajoutés à l’insuline. 

    Il est important de reconnaître l’autonomie individuelle des personnes vivant avec le DT1 et bien que cette recommandation ne soit pas une recommandation de traitement forte, comme le suggèrent les auteurs, il s’agit d’une recommandation conditionnelle qui permet aux personnes atteintes de DT1 de prendre en compte leurs objectifs de santé individuels et de demander les traitements qui leur conviennent le mieux :

    Chez les adultes, un traitement d’appoint, comme la metformine, les agonistes des récepteurs du peptide-1 de type glucagon (GLP1-RA) ou les inhibiteurs des cotransporteurs sodium-glucose de type 2 (iSGLT2), peut être envisagé en plus de l’insuline afin d’atteindre les objectifs individuels du traitement tout en utilisant des stratégies favorisant la sécurité, l’efficacité et la tolérabilité de ces médicaments.

      Percée DT1 Canada se réjouit de la mise à jour de ces lignes directrices cliniques qui permettront aux personnes atteintes de DT1 d’avoir des conversations importantes avec leur(s) prestataire(s) de soins de santé afin de discuter des meilleures options pour leurs soins. Nous continuerons de militer en faveur de la couverture de ces traitements et dispositifs afin d’assurer que toutes les personnes ont accès aux traitements et aux dispositifs qui répondent à leurs besoins individuels en matière de santé.

      Le choix du patient est primordial en ce qui concerne les dispositifs, les traitements, les insulines et les systèmes d’administration d’insuline pour le diabète. À cet égard, Percée DT1 continuera de défendre la cause et de travailler avec la communauté du DT1 pour assurer un meilleur accès, un prix abordable et un éventail de choix plus large pour les Canadiennes et les Canadiens atteints de DT1.

      Si vous souhaitez en savoir plus sur la mise à jour des lignes directrices, les dispositifs d’administration automatisée d’insuline ou les traitements d’appoint, n’hésitez pas à consulter votre professionnel de la santé spécialisé en diabète.

      Image reproduite dans son intégralité à partir de Halperin, Wicklow, Amed, et al., au nom du Comité directeur des lignes directrices de pratique clinique de Diabète Canada (2025), Revue canadienne du diabète, 49, 5–18. https://www.canadianjournalofdiabetes.com/article/S1499-2671(25)00001-2/fulltext. Le texte dans l’image a été traduit en français.

      Faites entendre votre voix lors de ces élections fédérales

      Les élections fédérales canadiennes sont en cours, et Percée DT1 Canada demande à ses défenseurs du DT1 partout au pays de s’unir et de s’assurer que les recherches et la couverture des dispositifs font partie de la discussion.

      On estime à 300 000 le nombre de personnes qui vivent avec le diabète de type 1 (DT1) au Canada, et le nombre de diagnostics augmente plus rapidement que la croissance de la population générale. Plus de 70 % des nouveaux diagnostics de DT1 concernent des adultes et plus de 80 % des Canadiennes et des Canadiens atteints de DT1 sont âgés de plus de 18 ans.

      Les recherches donnent des résultats : au cours des 50 dernières années de progrès, 25 ans ont été ajoutés à la durée de vie d’une personne atteinte de DT1 en plus de recevoir de meilleurs soins au Canada. Le Canada est un leader mondial dans les recherches sur le DT1, de la découverte de l’insuline et des cellules souches, à la création du protocole d’Edmonton (méthode d’implantation d’îlots pancréatiques pour traiter le DT1). Percée DT1 a joué un rôle central dans presque toutes les grandes percées historiques dans le domaine du DT1 – de la création du taux HbA1c (mesure de la glycémie) il y a plus de 40 ans, aux progrès récents comme les pancréas artificiels et les systèmes hybrides en boucle fermée.

      Nous aidons actuellement à financer 65 subventions de recherche actives au Canada, pour une valeur totale de 63,9 millions de dollars. Nous investissons dans les recherches les plus prometteuses (p. ex., recherche sur de nouveaux traitements qui peuvent stopper l’auto-immunité, sur des thérapies à base de cellules souches qui peuvent rétablir la production d’insuline et sur des technologies plus précises pour améliorer l’autogestion du diabète).

      Notre travail de défense d’intérêts a donné lieu à un meilleur accès aux dispositifs dans toutes les provinces et les deux territoires, à l’admissibilité automatique au crédit d’impôt pour personnes handicapées et à 30 millions de dollars de financement gouvernemental pour les recherches sur le DT1 dans le cadre du Partenariat pour vaincre le diabète Percée DT1-IRSC.

      Des progrès considérables ont été réalisés, mais nous ne nous arrêterons pas tant que nous n’aurons pas atteint notre objectif ultime de trouver des thérapies de guérison pour le DT1 et de vivre dans un monde sans cette maladie.

      C’est pourquoi nous avons besoin de votre aide, pour faire en sorte que les questions concernant la communauté du DT1 soient au premier plan de ces élections. Envisagez de rencontrer vos candidats locaux, de parler de votre parcours avec le DT1 et de militer en faveur du soutien du fédéral aux recherches essentielles sur le DT1.

      Pour aider les bénévoles à rencontrer les candidats locaux, Percée DT1 Canada organisera un webinaire dans les deux langues officielles afin de parler des pratiques optimales et de la façon d’avoir le plus d’impact possible sur les candidats. Il s’agit notamment d’informations sur l’endroit où trouver les candidats, sur la manière de les contacter, sur le message que nous transmettons et sur ce que les candidats peuvent faire pour montrer leur soutien à la communauté du DT1 au Canada.

      Cliquez ici pour vous inscrire


      De plus, nous avons mis au point un formulaire en ligne simple pour aider les gens à écrire une lettre aux candidats et à militer en faveur d’un soutien fédéral accru à la communauté du DT1. Après avoir rempli ce formulaire, une lettre personnalisée sera envoyée et adressée aux candidats locaux au poste de député dans chaque circonscription, soulignant la nécessité de donner la priorité aux recherches sur le DT1 et sollicitant leur appui à la communauté du DT1. Nous invitons toute personne touchée par le DT1 à participer et à partager ce message avec ses amis et sa famille afin de lui donner encore plus de force.

      Cliquez ici pour remplir le formulaire


      Ensemble, nous pouvons sensibiliser les gens aux problèmes auxquels les personnes atteintes de DT1 font face dans ce pays et veiller à ce qu’elles restent au premier plan des préoccupations de ceux et celles qui nous représenteront après les élections.

      Pour toute question ou du soutien, veuillez contacter Joey Wong à jwong@breakthroughT1D.ca

      Célébrons la Journée internationale de la femme

      La Journée internationale de la femme (JIF) nous invite à imaginer un monde où règne l’égalité entre les genres. Un monde exempt de préjugés, de stéréotypes et de discrimination. Un monde qui est diversifié, équitable et inclusif. Un monde où la différence est valorisée et célébrée. Ensemble, nous pouvons forger l’égalité des femmes. Le thème de la #JIF2025 est que nous pouvons tous #AccélérerLAction. 

      La Journée internationale de la femme (JIF) existe depuis plus de cent ans, et bon nombre des enjeux qu’elle aborde sont malheureusement toujours d’actualité. La JIF nous rappelle qu’il faut célébrer les réalisations des femmes, sensibiliser à la discrimination et prendre des mesures pour instaurer la parité entre les hommes et les femmes. 

      Percée DT1 Canada est fière de célébrer les réalisations des chercheuses canadiennes qui ont pavé la voie dans le domaine du diabète de type 1 (DT1) et qui nous ont aidés dans notre mission d’améliorer le quotidien des personnes vivant avec la maladie, tout en travaillant vers des thérapies de guérison pour demain. 

      Apprenez-en davantage au sujet de la Dre Priscilla White, une pionnière de la recherche et du traitement du diabète, de la Dre Dorothy C. Hodgkin, qui a découvert la structure tridimensionnelle de l’insuline, de la Dre Helen M. Free, qui a créé avec son mari Clinistix, permettant aux gens de vérifier leur glycémie à domicile, une avancée significative dans la gestion de la maladie. Ces femmes ont joué un rôle crucial et essentiel dans l’avancement des connaissances sur le DT1, permettant ainsi aux générations futures de chercheuses et chercheurs de s’appuyer sur leurs travaux. 

      Aujourd’hui, le financement de Percée DT1 Canada aide à soutenir de nombreuses chercheuses spécialisées dans le DT1 qui poursuivent l’héritage de celles qui les ont précédées. Elles tracent maintenant leur propre voie en explorant des thérapies de guérison potentielles, de nouvelles thérapies modificatrices de la maladie, la médecine de précision, des dispositifs pour le diabète plus performants et mieux adaptés, tout en menant des recherches sur le dépistage et la prévention du DT1 et en améliorant le soutien en santé mentale pour améliorer la vie des personnes vivant actuellement avec le DT1. 

      Découvrez les chercheuses qui ont bénéficié du financement de Percée DT1 Canada au cours de la dernière année : 

      3 nouvelles stagiaires en partenariat avec le Réseau de recherche et formation sur les îlots du Canada 

      Dre Summer Helmi Boursière postdoctorale 
      Optimisation de la différenciation des îlots pancréatiques néonataux porcins à l’aide du bioréacteur PBS Mini Vertical-Wheel® : Faire avancer la xénotransplantation pour le diabète de type 1 

      Ce projet novateur explore une approche prometteuse pour le traitement du diabète de type 1 en utilisant des îlots pancréatiques néonatals porcins (NPI) comme thérapie de remplacement cellulaire. Bien que les NPI offrent des avantages par rapport aux autres méthodes, l’optimisation de leur production pour une utilisation clinique reste un défi. Ces travaux pourraient surmonter des obstacles majeurs dans la production des NPI, nous rapprochant ainsi d’un traitement plus efficace et accessible pour le diabète de type 1. Le projet vise à faire progresser les stratégies de différenciation des îlots porcins et à transformer les soins du diabète à l’échelle mondiale. 

      Dre Nayara Rampazzo Morelli, boursière postdoctorale 
      Étude d’une cible médicamenteuse potentielle dans les cellules bêta humaines pendant le diabète de type 1 

      Le diabète de type 1 (DT1) est bien connu pour ses aspects auto-immuns, entraînant la perte de la majorité des cellules bêta dans l’organisme et une carence en insuline. Le processus de perte des cellules bêta reste incertain, mais des travaux récents indiquent que l’accumulation de cellules bêta stressées peut accélérer l’apparition du DT1. L’objectif de cette étude est d’évaluer une cible médicamenteuse spécifique dans les cellules bêta humaines stressées afin de déterminer si cette approche pourrait être utilisée pour ralentir la progression du DT1 ou améliorer les symptômes chez les personnes vivant avec le DT1. 

      Dre Shreyasi Sarkar, boursière postdoctorale 
      Évaluation du potentiel de la cible 14-3-3z pour restaurer la masse fonctionnelle des cellules bêta 

      Les recherches de la Dre Sarkar se concentrent sur l’identification de nouvelles façons d’augmenter le nombre (la masse) des cellules bêta pour traiter le DT1. J’étudie une protéine appelée 14-3-3z, et des travaux antérieurs du Dr Lim ont montré que cibler cette protéine pendant le développement précoce chez les souris améliorait la sécrétion d’insuline et la masse des cellules bêta, faisant de cette protéine une cible prometteuse pour le traitement du diabète. Les recherches de la Dre Sarkar explore maintenant une nouvelle approche utilisant des oligonucléotides antisens (un brin synthétique de nucléotides capable de moduler l’expression des protéines) pour cibler cette protéine après la naissance et examiner si des améliorations similaires peuvent être obtenues. Cela pourrait représenter une nouvelle approche pour traiter le diabète. 

      J. Bourse Andrew McKee pour le diabète de type 1 

      Dre Alyssa Weinrauch, Centre d’excellence Percée DT1 Canada à l’UBC 

      Les travaux de la Dre Weinrauch visent à comprendre l’impact des lipides sur le développement et la maturation des cellules bêta issues de cellules souches. Les cellules bêta issues de cellules souches offrent des possibilités infinies pour la thérapie curative du DT1. Toutefois, elles n’atteignent pas actuellement le même niveau de maturité que les îlots humains, et nous croyons que les lipides peuvent contribuer à amener les cellules bêta immatures issues de cellules souches à ce stade final de maturation. 

      Les subventions d’exploitation pour la mobilisation des connaissances sur la prévention et le traitement du diabète, dirigées par l’Institut de la nutrition, du métabolisme et du diabète des IRSC, en partenariat avec Percée DT1, offrent la possibilité aux chercheurs et aux utilisateurs des connaissances de travailler ensemble pour utiliser les données des recherches en vue d’améliorer les services, les programmes et les politiques de santé. 

      Anne-Sophie Brazeau, Université McGill – Intégration d’une plateforme de formation en ligne sur les soins cliniques du diabète de type 1 afin de favoriser l’autogestion (soutien à la mise en œuvre)  

      La Dre Brazeau et son équipe évalueront des stratégies de mise en œuvre pour intégrer SUPPORT, une plateforme de formation en ligne, dans le cadre des soins cliniques et mettront en place des activités pour promouvoir cette innovation auprès des professionnels de la santé. L’objectif est d’accroître l’utilisation de la plateforme et de réduire le temps requis pour la mise en pratique des résultats des recherches, améliorant ainsi la vie des personnes atteintes de DT1.  

      Valeria E Rac, Réseau universitaire de santé – Relier les programmes de dépistage de la rétinopathie diabétique en Ontario. Mobiliser les connaissances dans l’ensemble du système de santé.  

      La Dre Rac et son équipe mettront au point une voie vers la création d’un programme provincial de dépistage de la rétinopathie diabétique qui comprendra un registre provincial. L’équipe évaluera également les besoins en matière de dépistage des différentes populations de patients atteints de diabète dans la province et organisera des ateliers de collecte de connaissances pour améliorer l’accès aux programmes de dépistage de la rétinopathie diabétique, et ce faisant, améliorer la santé oculaire des personnes atteintes de diabète.  

      Liris P Smith, Université du Yukon – Expériences de la gestion du diabète de type 1 au Yukon : Perspectives des patients et des prestataires de soins.  

      La Dre Smith et son équipe étudieront et décriront les expériences des personnes atteintes de DT1 et de leurs soignants au Yukon, en tenant compte du fait que les besoins de la communauté sont uniques et que l’accès aux soins est souvent limité dans les zones rurales. La subvention permettra à l’équipe de décrire également les expériences des prestataires de soins primaires au Yukon avec les personnes atteintes de DT1, dans le but ultime d’améliorer l’accès aux soins et le soutien à la gestion. 

      Chercheuses principales dans les projets de recherche financés par Percée DT1 

      Dre Shazhan Ahmed 
      Traitement précis du diabète pédiatrique : Administrer bon traitement, pour le bon patient, au bon moment, au fil du temps 

      Dre Gillian Booth 
      Évaluation de solutions novatrices en soins de santé pour améliorer les résultats des personnes vivant avec le diabète de type 1 grâce à un nouveau référentiel électronique de données  

      Dre Sonia Butalia 
      Une approche plus en douceur : Soutenir les jeunes atteints de diabète de type 1 pendant la transition entre les soins pédiatriques et les soins pour adultes 

      Dre Yi-Chen Chun 
      Régulation translationnelle et post-translationnelle des prohormones des îlots de Langerhans dans le DT1 

      Dre Deborah Da Costa 
      Adaptation et évaluation pilote d’une intervention numérique ciblant les besoins psychosociaux des personnes atteintes de diabète prégestationnel : Une étude multiphase utilisant des méthodes mixtes 

      Dre Jayne Danska 
      Régulation du microbiome dans l’auto-immunité des cellules bêta et le diabète de type 1 

      Dre Megan Levings 
      Deux études :  
      Harmonisation des biomarqueurs dans les essais cliniques de l’ustekinumab 

      Régulation immunitaire innée et adaptative dans le diabète de type 1 

      Dre Caitlyn Maikawa 
      Matériaux polymères pour la libération contrôlée d’analogues de l’amyline en réponse au glucose 

      Dre Despoina Manousaki  
      Développement d’un score de risque génétique trans-ancestral pour le diabète de type 1 

      Dre Shweta Mital 
      Économie du dépistage et de la prévention du diabète de type 1 au Canada 

      Dre Cristina M. Nostro 
      Trois études : 
      Stratégies médiées par les macrophages pour favoriser la vascularisation et l’immunotolérance dans les thérapies de remplacement des cellules des îlots de Langerhans 

      Cellules semblables aux îlots de Langerhans à évitement immunitaire grâce à une reconnaissance immunitaire réduite et un contrôle immunitaire local 

      Utilisation de nouvelles stratégies de transplantation et de cellules souches pluripotentes humaines (hPSC) hypo-immunogènes modifiées au niveau du complexe HLA pour développer un produit semblable aux îlots de Langerhans supérieur pour le traitement du DT1 

      Dre Sara Nunes de Vasconcelos 
      Développement d’une nouvelle approche de vascularisation basée sur les cellules pour améliorer la survie des cellules bêta 

      Dre Amanda Oakie 
      Élucider le rôle de la signalisation Notch dans la prolifération des cellules endocrines pancréatiques dérivées de cellules souches humaines 

      Dre Mahla Poudineh 
      Un timbre en micro-aiguilles avec hydrogel sensible au pH pour la mesure continue des corps cétoniques et du glucose 

      Dre Kacey Prentice 
      Élucider le rôle du complexe hormonal Fabkin dans les maladies métaboliques

      Dre Elizabeth Rideout 
      Exploiter le sexe biologique et la génétique pour une médecine de précision axée sur les cellules bêta dans le diabète de type 1 

      Dre Marie Eve Robinson 
      Enseigner l’auto-compassion aux adolescents atteints de diabète de type 1 pour réduire la détresse liée au diabète : Un essai contrôlé randomisé 

      Dre Hyekyoung Sung 
      Permettre la médecine de précision dans le diabète de type 1 (DT1) : exploiter les approches multiomiques intégrées pour comprendre les endotypes du DT1 en vue de traitements 

      Dre Tricia Tang 
      Quatre études : 
      Mise en place d’une plateforme de soins virtuels pour améliorer la santé mentale des personnes atteintes de diabète de type 1 dans les régions rurales et éloignées de l’intérieur de la Colombie-Britannique 

      Utilisation d’une plateforme de soins virtuels pour offrir un soutien par les pairs en matière de santé mentale aux communautés rurales et éloignées de la Colombie-Britannique : Un essai contrôlé randomisé sur liste d’attente de l’intervention REACHOUT 

      Utilisation d’une plateforme de soins virtuels pour offrir un soutien par les pairs en matière de santé mentale aux communautés rurales et éloignées de la Colombie-Britannique : Un essai contrôlé randomisé sur liste d’attente de l’intervention REACHOUT 

      Le Programme de formation Santé mentale + Diabète : Préparer une nouvelle génération de fournisseurs
       
      Dre Alanna Weisman 
      Assurer une adoption et une utilisation équitables des technologies liées au diabète chez les adultes atteints de diabète de type 1 

      Dre Diane Wherrett 
      Consortium de recherche sur le dépistage de la population canadienne pour le risque de diabète de type 1 (CANScreen) 

      Dre Holly Witteman 
      Trouvez votre CommuniDT1 : Soutien virtuel personnalisé par les pairs pour les personnes atteintes de diabète de type 1 

      Dre Xiao Yu (Shirley) Wu  
      Développement de nanoparticules ciblées pour l’administration de traitements aux cellules des îlots de Langerhans pour le traitement du DT1

      Pour en savoir plus sur les autres chercheuses financées par Percées DT1 : https://perceedt1.ca/la-recherche/rencontrez-les-chercheurs/ 

      Percée DT1 Canada – un département de recherche entièrement féminin. 
      La conseillère scientifique en chef, Dre Sarah Linklater, accompagnée de son équipe, la Dre Lara Green, la Dre Anne Marie MacDonald et la Tafadzwa Kadye, met à profit leurs connaissances scientifiques et leur passion pour la recherche afin d’aider Percée DT1 à sélectionner et à accélérer les recherches les plus prometteuses sur le DT1 au Canada. Elles veillent également à communiquer efficacement ces recherches à nos parties prenantes, aux représentants du gouvernement ainsi qu’à nos partenaires de collaboration dans l’industrie, le milieu universitaire et d’autres organismes sans but lucratif. 

      Christine Tourigny, avec le soutien de la Dre Linklater supervise la Stratégie pour la santé mentale et le diabète de Percée DT1 Canada en tant que remplaçante durant le congé de maternité d’Amanda Hailman. Elle contribue à maintenir l’élan de ce programme, qui vise à combler une lacune essentielle dans les soins de santé et les programmes communautaires en matière de soutien en santé mentale spécifique au diabète. 

      Percée DT1 Canada – Une organisation dirigée par une femme 
      À la fin de 2023, Jessica Diniz est devenue présidente et cheffe de la direction de Percée DT1 Canada. En avril 2023, Helena Gottschling a été annoncée comme présidente du conseil d’administration. Elles travaillent toutes deux à garantir que Percée DT1 Canada puisse respecter sa stratégie, sa mission et son engagement en tant qu’organisation envers les donateurs, les sympathisants, le personnel et tous les Canadiens touchés par le DT1. 

      Percée DT1 Canada est également fière de continuer à avoir des équipes de direction et de gestion qui font plus que respecter la parité hommes-femmes, avec une forte proportion de femmes. Tout en reconnaissant qu’il reste toujours du travail à accomplir, Percée DT1 Canada s’efforce chaque jour de faire progresser le thème de la JIF #AccélérerLAction. 

      Les visages de la Campagne pour accélérer de 100 millions $ : L’histoire de Christine

      Christine MacGibbon vit avec le diabète de type 1 (DT1) depuis 27 ans. Elle sensibilise les gens aux réalités de la vie avec cette maladie de manière significative et unique, en tirant parti de son expérience de mannequin, de conteuse et de danseuse de niveau de compétition. Elle est une ambassadrice audacieuse de Percée DT1, partageant courageusement son histoire dans le cadre de notre programme de santé mentale et de la série éducative Parlons DT1 sur le DT1 et les troubles de l’alimentation.

      La Campagne pour accélérer de 100 millions $ est le plan de financement audacieux de Percée DT1 visant à rationaliser et à accélérer la recherche la plus prometteuse sur le DT1 au Canada et dans le monde. Menée par des philanthropes passionnés et des bénévoles dévoués, cette campagne de dons majeurs a permis d’amasser plus de 86 millions de dollars et a permis de financer deux fois plus de recherches sur le DT1 qu’il y a six ans. Ensemble, nous dirigeons un mouvement imparable visant à changer des vies aujourd’hui et à accélérer la mise au point de thérapies de guérison demain pour les personnes vivant avec le DT1 comme Christine.

      Avertissement de contenu sensible : Cette histoire fait référence à un trouble du comportement alimentaire connu sous le nom de diaboulimie (omission d’insuline pour perdre du poids).

      Christine a reçu le diagnostic à l’âge de neuf ans et se souvient d’avoir perdu beaucoup de poids et d’avoir besoin d’uriner plus fréquemment. Elle raconte qu’il en est arrivé au point où ses professeurs lui donnaient des retenues à l’école  parce qu’ils croyaient qu’elle essayait d’échapper à la classe; ils ne connaissaient aucune personne aux prises avec le diabète, ni les signes et les symptômes.

      Christine fut admise à l’hôpital après avoir reçu le diagnostic de DT1, ce qui n’a pas semblé si grave au début; une équipe spécialisée dans les soins du diabète était là pour l’aider à gérer son DT1 et l’instruire, ainsi que sa famille, sur la maladie. Elle a également rencontré des enfants de son âge qui ont reçu le diagnostic à la même époque, dont l’une de ses meilleures amies à ce jour. Le fait d’être entourée de personnes qui comprenaient ce qu’elle traversait l’a aidée à passer au travers les deux premières semaines de son diagnostic. Pourtant, une fois de retour à la maison, elle n’a pas reçu les soins complets pour le diabète dont elle avait besoin pour s’épanouir.

      Christine a eu du mal à accepter sa nouvelle réalité de la vie avec une maladie chronique. « Je ne comprenais pas vraiment ce qui se passait dans mon corps et pourquoi j’avais besoin d’insuline », explique Christine. « J’avais l’impression que je n’étais qu’une maladie et que c’était la raison pour laquelle je n’arrivais pas à faire tant de choses. »

      À l’approche de l’adolescence, Christine a été confrontée à la stigmatisation des autres concernant son poids, ses besoins en insuline et les technologies du diabète. Cela l’a amenée à penser que son diabète était de sa faute et qu’elle ne méritait pas d’être en bonne santé ou d’être heureuse. Elle a donc tenté de se dissocier de la maladie complètement. Elle a cessé d’utiliser sa pompe à insuline, évité de vérifier sa glycémie et limité son apport en insuline. En conséquence, elle a perdu du poids et a été félicitée pour cela malgré ses souffrances.

      « J’ai lutté contre la diaboulimie pendant de nombreuses années», explique Christine. « À l’époque, il n’y avait pas beaucoup de recherches sur le sujet, si bien que je n’ai pas pu obtenir les traitements et le soutien dont j’avais besoin. »

      À l’âge de 17 ans, le taux HbA1c de Christine (la moyenne de ses taux de glycémie sur 2 à 3 mois) était supérieur à 14 %. Ce chiffre est beaucoup plus élevé que les 7,5 % ou moins recommandés pour les adolescents atteints de DT1. Elle s’est également retrouvée sans endocrinologue pendant la période difficile de transition entre les soins pédiatriques et les soins pour adultes. Tout au long de son adolescence et de sa vingtaine, Christine a fait de nombreux allers-retours de l’hôpital et des soins intensifs en raison de complications du diabète découlant de sa lutte contre la diaboulimie.

      Ce n’est que lorsque Christine s’est informée sur la physiopathologie (l’étude de la façon dont une maladie touche une personne) à l’université qu’elle a compris ce qui se passait dans son corps et qu’elle a réalisé les dommages qu’elle se causait à elle-même en se privant d’insuline. Le fait de parler avec d’autres personnes atteintes de DT1 et de les entendre parler de difficultés semblables aux siennes a également aidé Christine à se sentir moins seule sur son parcours avec le DT1.

      Grâce aux progrès technologiques financés par les donateurs, elle est aujourd’hui suffisamment en bonne santé pour poursuivre des études sur les handicaps à la Toronto Metropolitan University. Christine vise à combattre les préjugés entourant le diabète et à susciter des discussions sur la façon dont la société perçoit et traite le diabète. Elle milite pour un accès équitable au soutien et à la couverture du DT1, afin d’éviter que d’autres n’aient à faire face aux mêmes adversités qu’elle. Elle défend également la positivité du corps et la santé mentale dans tout son travail.

      Christine est optimiste quant à l’avenir des recherches sur le DT1, constatant les progrès technologiques, les percées et les nouvelles connaissances sur le diabète qui améliorent des vies aujourd’hui. « Quand je pense à ce qui se profile à l’horizon, aux progrès technologiques et à l’aide qu’ils m’ont apportée jusqu’à présent, je me vois vivre avec tout cela et m’en sortir »,dit Christine.

      Joignez-vous à notre communauté grandissante de philanthropes du DT1

      Les donateurs de La Campagne pour accélérer de 100 millions $ ont un impact profond et immédiat, aidant des personnes comme Christine, qui affrontent courageusement chaque jour le fardeau de cette maladie implacable.

      Pour en savoir plus sur la manière dont vous pouvez faire un investissement significatif dans notre campagne passionnante, contactez :

      Kim Lacombe 
      Vice-présidente, Philanthropie
      klacombe@breakthroughT1D.ca
      438-814-1668

      Calcul des glucides – friandises de la Saint-Valentin

      Préférez-vous la douceur d’un Hershey’s Kisses ou le goût épicé d’un cœur à la cannelle? La plupart d’entre nous peuvent prendre une poignée de bonbons de la Saint-Valentin sans même y penser. Mais les personnes atteintes de diabète de type 1 (DT1) doivent d’abord calculer la teneur en glucides et en sucre de chaque collation, de chaque repas et de chaque morceau de nourriture avant de les manger pour savoir la quantité d’insuline à administrer – juste pour rester en vie.   

      Pour les familles qui viennent de recevoir le diagnostic, l’apprentissage du calcul des glucides et des besoins en insuline peut s’avérer difficile au début, mais à force de s’exercer, la tâche devient plus facile avec le temps. Même pour les personnes qui vivent avec le DT1 depuis des décennies, la teneur en sucre ou en glucides de certains aliments peut varier en fonction de la marque ou d’un changement dans le produit.  

      Veillez toujours à lire attentivement l’étiquette et envisagez de télécharger une application, comme l’application mySugr de Roche, Diabetes M, Quin, qui peut être reliée à un capteur de glucose flash (Quin est gratuite mais uniquement offerte sur les appareils IOS) ou les applications des fabricants de vos appareils. Consultez le site Web du fabricant de votre appareil pour en savoir plus. 

      L’appli Carbs and Cals vous permet de prendre une photo de votre repas, et effectue ensuite une recherche dans sa bibliothèque de plus de 19 000 aliments pour vous donner les informations nutritionnelles dont vous avez besoin.  

      L’application MyFitnessPal comprend une base de données de plus de 14 millions d’aliments, vous permettant de trouver des informations nutritionnelles sur ce que vous mangez, y compris la quantité de glucides. Elle est munie d’un lecteur de codes-barres pratique pour les produits prêt à l’emploi et vous pouvez également ajouter vos propres aliments. 

      Une version gratuite est offerte ainsi qu’une version payante comprenant davantage de fonctionnalités. L’application est compatible avec iOS et Android.  

      Nous voulons que les fêtes soient agréables pour vous ou pour un proche atteint de DT1, sachez qu’il est possible de savourer des gâteries sucrées en toute sécurité. Il suffit d’y mettre un peu plus d’effort pour trouver la teneur en glucides de vos friandises préférées. 

      N’oubliez pas aussi de tenir compte de la portion de bonbons ou de chocolat que vous ou votre enfant mangez afin d’obtenir un décompte plus précis des glucides. 

      • Les cœurs à la cannelle Great Value (25 morceaux) contiennent un total de 15 g de glucides, 15 g de glucides nets, 0 g de lipides, 0 g de protéines et 60 calories. 
      • Un morceau de Hershey Kisses contient un total de 3 g de glucides, 2,8 g de glucides nets, 1,5 g de lipides, 0,4 g de protéines et 27 calories. 
      • Un moule au beurre d’arachides Reese’s de Hershey (1 paquet – chacun de 1,5 oz – 2 moules – 2 1/8″ de diamètre par moule) contient un total de 23 g de glucides, 21,7 g de glucides nets, 12,8 g de lipides, 4,3 g de protéines et 216 calories. 
      • 10 morceaux de bonbons haricots (Jellybeans) contiennent un total de 28 g de glucides, 28 g de glucides nets, 0 g de lipides, 0 g de protéines et 113 calories. 
      • Les jujubes Compliments (8 bonbons) contiennent un total de 33 g de glucides, 33 g de glucides nets, 0 g de lipides, 0 g de protéines et 130 calories. 

      (Valeurs trouvées sur https://www.carbmanager.com/– en anglais.) 

      Nous remercions nos amis de Waltzing the Dragon pour ce guide des glucides des friandises de la Saint-Valentin : (https://waltzingthedragon.ca/diabetes/nutrition-excercise/valentines-day-candy-chocolate-carb-counting-tips/ – en anglais). 

      Pourquoi je roule – Matt Varey 

      En mai prochain, Matt Varey, bénévole clé de Percée DT1 depuis 2001, entreprendra un ambitieux périple à vélo de deux mois et 7 500 km à travers le Canada. En parcourant le pays D’un océan à l’autre pour la guérison en appui à Percée DT1, Matt espère que sa passion et sa détermination inspireront les Canadiennes et les Canadiens à donner généreusement pour améliorer le quotidien des personnes vivant avec le diabète de type 1 (DT1) tout en œuvrant vers des thérapies de guérison. 

      Matt a occupé une série de rôles clés en tant que bénévole au sein de Percée DT1. Matt siège actuellement au conseil d’administration de Breakthrough T1D International en tant que vice-président ainsi qu’au conseil d’administration de Percée DT1 Canada.  

      Matt était dernièrement cadre supérieur à la RBC avant de prendre sa retraite en juin 2024. Matt s’est joint à la RBC en 1987 et a occupé un large éventail de postes de direction et de gestion au sein de la RBC, y compris celui de chef de la Planification financière canadienne de RBC Investissements. Auparavant, il était vice-président et directeur général de RBC Suisse, les activités mondiales de banque privée de RBC à Genève, en Suisse.  

      Matt est diplômé de l’université McMaster et profite actuellement de sa retraite à Oakville, en Ontario, avec sa femme, la Dre Andrea Jack, ou AJ, et leurs quatre enfants adultes.  

      Matt s’est entretenu avec Percée DT1 pour en savoir plus sur les motivations qui l’ont poussé à entreprendre une collecte de fonds aussi ambitieuse et sur les raisons pour lesquelles il est si important pour lui de soutenir la communauté du DT1. 

      Percée DT1 : Parlez-nous un peu de vous  

      Matt Varey : J’ai 61 ans, je suis né et j’ai grandi à Oakville, en Ontario. J’avais des parents simples et attentionnés, tous deux décédés aujourd’hui, une sœur aînée qui vit à Calgary et mon frère qui vit en France. J’ai étudié la kinésiologie à McMaster. J’aimais beaucoup le sport, et je l’aime toujours. J’étais un pagayeur de compétition, je jouais au football, au rugby et je faisais du vélo. Ma vie tournait autour du sport. Mais j’avais une autre passion, la finance et les investissements. Après avoir obtenu mon diplôme, j’ai dû choisir entre la kinésiologie et mon autre passion. On m’a toujours dit que lorsqu’on arrive à une croisée de chemins, il faut choisir un chemin et le suivre jusqu’au bout. J’ai eu une opportunité de commencer à travailler chez RBC Dominion Valeurs mobilières, et j’ai donc pris le chemin de la finance. J’avais 23 ans et j’ai passé 37 ans à la RBC. J’ai exercé des fonctions de direction pendant la quasi-totalité de ma carrière, ce qui m’a conduit dans de nombreux endroits – à Saskatoon, Kitchener, Waterloo, Toronto, Singapour et en Suisse. 

      C’est également à cette époque que j’ai rencontré l’amour de ma vie, ma femme AJ, lors d’un rendez-vous à l’aveugle à Muskoka, et nous nous sommes mariés environ un an et demi plus tard. Nous vivions alors à Toronto, et c’est ainsi qu’a commencé notre périple avec notre famille. Nous avons quatre beaux enfants adultes. Notre aîné travaille à la RBC, notre deuxième plus vieux est ingénieur chimiste et travaille à l’assainissement de l’eau dans le monde, notre troisième travaille à RBC Dominion Valeurs mobilières dans le domaine du courtage, et le plus jeune travaille dans l’immobilier commercial. AJ est associée dans un cabinet dentaire et enseigne à temps partiel. Et nous sommes tous deux extrêmement fiers d’être les grands-parents de deux petits-enfants. 

      Comme je l’ai dit, mes parents ne sont plus là, mais ce sont eux qui m’ont appris à toujours donner au suivant. C’étaient des gens très simples et bienveillants, qui redonnaient toujours aux autres. Je vis chaque jour en essayant d’honorer ce qu’ils m’ont appris. 

      J’aime la nature, les lacs, les forêts, les prairies, les montagnes, tout ce qui me permet d’être à l’extérieur, j’aime cela et je me sens vivant. J’aime continuer à faire du sport avec mon corps d’adulte, j’aime faire du vélo, j’aime être à la retraite et pouvoir suivre les marchés, j’aime lire. Je travaille à l’obtention de ma licence de pilote. Lorsque je ne suis pas sur mon vélo, j’aime être dans les airs. Mais par-dessus tout, j’aime m’impliquer dans des parcours qui ont du sens et m’entourer de personnes bienveillantes et dévouées à une cause.  

      Percée DT1 : Vous êtes impliqué dans Percée DT1 (auparavant FRDJ) en tant que bénévole et membre du conseil d’administration depuis plus de 20 ans. Comment avez-vous découvert l’organisation au départ? 

      Matt Varey : Ma relation avec Percée DT1 a commencé en 2001, lorsque ma femme AJ et mes quatre jeunes enfants ont été transférés à la RBC de Genève à Toronto. À cette époque, on nous avait demandé de créer une nouvelle entreprise canadienne au sein de la banque, ce qui impliquait que moi et d’autres leaders parcourions le Canada pour parler aux employés avec passion et crédibilité de ce qu’ils allaient contribuer à bâtir. Nous sommes allés d’un océan à l’autre, à Victoria, à Terre-Neuve, à Yellowknife. Nous avons visité des succursales, organisé des assemblées générales, nous en faisions quatre par jour et nous nous rendions dans la ville suivante pour parler de l’entreprise.  

      La banque est une activité humaine basée sur la confiance. J’ai dû sortir de ma coquille introvertie pour parler aux employés, et je leur demandais donc : « Qui êtes-vous en tant que personne? Je veux apprendre à vous connaître en tant qu’être humain, au-delà du travail. À l’époque, je n’avais aucune idée de ce qu’était Percée DT1 (alors FRDJ). Les gens parlaient de leurs enfants, de leurs sports, et une ou deux personnes, à qui j’ai posé des questions sur leur famille, avaient les larmes aux yeux ou répondaient d’une voix tremblante. Alors, naturellement, je creusais un peu plus et posais d’autres questions, et ils me parlaient de leur proche et de leur parcours avec le DT1.  

      Alors, en revenant de ce voyage d’affaires à travers le Canada, j’ai découvert le Roulons « pour les banques » de Percée DT1 et je me suis dit : wow, il faut absolument que je participe. Ce printemps-là, je me suis rendu à l’hôtel de ville et je faisais partie de l’équipe du Roulons RBC. J’ai vu tant de membres de RBC donner au suivant avec enthousiasme, c’était très inspirant. J’ai vu tous ces gens amasser des fonds pour la recherche sur le DT1, j’ai fait le lien avec les personnes touchées par le DT1 que j’avais rencontrées au cours de ce voyage d’affaires, et j’ai eu la piqûre. Ma mère disait toujours : « Ce qui est donné est à toi pour toujours », et j’ai su que je venais de trouver un nouveau parcours porteur de sens avec Percée DT1. 

      Tout a commencé là. Je suis devenu le président du comité du Roulons RBC, puis le président du comité national. J’ai vu le pouvoir du progrès, j’ai vu le dévouement et la passion des gens. Je me suis donc dit que je ne pouvais pas m’arrêter avec le Roulons. Puis j’ai rencontré un fabuleux mentor, l’une des personnes les plus importantes de ma vie, Peter Oliver.  

      Peter était l’un des premiers collecteurs de fonds de ce qui était alors FRDJ, en raison de sa fille Vanessa, qui vit avec le DT1. Il était tellement généreux qu’il m’a appris des choses que je n’oublierai jamais sur la façon de donner au suivant. Il m’a dit : Il faut toujours voir grand et ne jamais accepter un non comme réponse. Fais des choses qui se démarquent; ne sous-estime jamais; deux c’est un, un ce n’est rien; ce qui compte, ce n’est pas ce qui est devant toi, mais qui est à tes côtés.  

      Peter incarnait parfaitement le rôle de mentor, tant pour la mission de Percée DT1 que pour les personnes qui y travaillaient. Et il savait qu’il avait ce jeune homme nommé Matt, qui suivrait tout ce qu’il lui demanderait. J’ai été membre du conseil d’administration, vice-président et président de Percée DT1 Canada, et je n’ai jamais ressenti une culture du don, de la solidarité et du dévouement aussi forte que celle des personnes de cette organisation. Cela m’a ensuite amené à devenir membre du conseil d’administration de Breakthrough T1D International (dont le siège est aux États-Unis), et je suis actuellement vice-président de Breakthrough T1D International. 

      Et ce parcours, je le dois en grande partie à Peter, qui était, est, et sera toujours mon étoile du nord. 

      Percée DT1 : Comment avez-vous eu l’idée de D’un océan à l’autre pour la guérison? 

      Matt Varey : En prenant ma retraite à l’été 2024, j’ai repensé à quelque chose que ma mère m’a toujours enseigné : « Ne t’arrête jamais de bouger et ne laisse jamais entrer le vieil homme ». Alors, avec des mentors comme ma mère me disant « Continue de bouger », et Peter Oliver me rappelant « Assure-toi que ce soit grand, que ça se démarque et que ça te pousse à te dépasser », j’ai eu l’idée de cet événement. 

      Traverser le Canada en 57 jours et parcourir 7 500 km d’un océan à l’autre pour une cause, c’est faire quelque chose de différent et, honnêtement, c’est quelque chose qui me fait peur, ce qui est une bonne chose. J’aime aussi énormément le Canada, et cela fait partie de mon périple également. Et je savais que RBC me soutiendrait toujours. En tant qu’organisation guidée par une mission et des valeurs, ils m’ont dit, au moment de ma retraite, que si je faisais quoi que ce soit pour Percée DT1, ils s’impliqueraient et me soutiendraient à 100 %. 

      Je veux me lancer des défis, rester fidèle à ma mère et à Peter. Et ma femme a dit qu’elle prendrait deux mois de congé, qu’elle amènerait le chien et qu’elle conduirait derrière moi. Ma femme est tout pour moi et je ne pourrais jamais faire cela sans elle.  

      Un soir, j’ai proclamé publiquement que j’allais le faire, et il n’y a plus eu de retour en arrière.  

      Percée DT1 : Qu’est-ce qui vous enthousiasme le plus dans cette aventure, à la fois sur le plan personnel et pour la sensibilisation à Percée DT1 et au diabète de type 1? 

      Matt Varey : Le monde change grâce à vos actions, pas à vos mots. Au fond, les êtres humains veulent voir des gens accomplir quelque chose de difficile, mais qui démontre du dévouement. Je pense que la générosité attire les êtres humains. L’émerveillement pur et simple de « wow, il a fait ça ». Si nous demandons aux gens de nous aider à récolter un demi-million de dollars, ils veulent voir que nous nous impliquons réellement. 

      Je me réjouis de voir la générosité des gens. Je suis un optimiste, je crois toujours que demain sera meilleur qu’aujourd’hui. Je me réjouis donc de la générosité des gens. J’ai hâte de passer deux mois au Canada avec ma femme et de revoir mes anciens collègues de RBC qui me manquent beaucoup.  

      Percée DT1 : Avez-vous un message pour la communauté de Percée DT1? 

      Matt Varey : Nous ne cesserons jamais de progresser dans la recherche de thérapies de guérison. Jamais. Et je ne suis qu’un des milliers de bénévoles incroyablement dévoués qui se lèvent chaque jour et disent la même chose, avec encore plus de crédibilité que moi.  

      Comme le dirait Mary Tyler Moore, qui a elle-même vécu avec le DT1 : « On ne peut pas être courageux si on n’a connu que des choses faciles ».  

      Et les personnes qui vivent avec le DT1 sont courageuses tous les jours. Sachez donc que mon engagement envers vous est d’être courageux également. Et nous ne nous arrêterons jamais jusqu’à ce que le monde soit débarrassé du diabète de type 1.  

      Pour suivre les progrès de Matt dans son périple ou pour le soutenir, veuillez visiter :https://traverseepourlaguerison.ca 

      Une première dans la thérapie cellulaire : des îlots transplantés fonctionnent sans immunosuppresseurs

      Le 7 janvier 2025 (Suède), Sana Biotechnology a publié d’importantes données cliniques (en anglais seulement) : la première personne atteinte de diabète de type 1 (DT1) ayant reçu des cellules des îlots pancréatiques provenant d’un donneur décédé, modifiés pour échapper au système immunitaire, produit de l’insuline sans immunosuppression.

      Les détails

      Il s’agit d’un grand pas en avant pour les thérapies à base de cellules susceptibles de pouvoir guérir le DT1. La première étude de Sana avec des sujets humains porte sur des îlots allogènes, c’est-à-dire provenant d’une source externe, et dans le cas ici, de pancréas de donneurs décédés. Ces îlots ont été modifiés pour ne pas être reconnus par le système immunitaire(hypo-immunité) et ont été implantés par voie intramusculaire chez une personne atteinte de DT1. Après quatre semaines, le peptide C circulant a augmenté, signifiant que les cellules bêta ont survécu, qu’elles sont en santé et qu’elles produisent de l’insuline, et ce, sans immunosuppression et sans problème d’innocuité. Il s’agit de la première preuve que des cellules des îlots pancréatiques modifiés ont réussi à éviter l’attaque destructrice du système immunitaire.

      Ce que cela signifie pour la communauté du DT1

      Bien qu’il s’agisse d’une avancée incroyablement prometteuse pour la communauté du DT1, les cellules allogènes qui ont survécu sans utiliser d’immunosuppresseurs dans le cadre de cet essai clinique provenaient de cellules de donneurs décédés, et il n’y en aura jamais assez pour en fournir à toutes les personnes atteintes de DT1. L’essai clinique a été réalisé sur un seul participant et les données ne portent que sur quatre semaines – il s’agit d’une étude de validation du concept qui est prometteuse, mais très préliminaire.

      Prochaines étapes : beaucoup de choses à venir

      Percée DT1 estime que la meilleure chance de guérir le DT1 réside dans les thérapies à base de cellules souches parce que la quantité d’îlots provenant de donneurs décédés est limitée, alors que les îlots issus de cellules souches peuvent être produits à grande échelle. La modification des cellules pour éviter l’attaque du système immunitaire est une nouvelle voie pour protéger les cellules bêta productrices d’insuline et éviter l’utilisation d’immunosuppresseurs. Plus important encore, cette technologie est étudiée pour être appliquée aux thérapies à base de cellules souches, ce qui constitue une solution évolutive pour un plus grand nombre de personnes atteintes de DT1. Cette technologie hypo-immune nous rapproche de la possibilité de disposer de suffisamment de cellules d’évasion immunitaire pour toutes les personnes atteintes de DT1.

      Un autre essai clinique est en cours pour tester une approche similaire (CRISPR) au Canada – https://essaiscliniques.perceedt1.ca/clinical-trial/NCT05565248.

      Cette approche nécessitera beaucoup de temps, d’efforts et d’argent, mais nous faisons chaque jour un pas de plus vers une guérison pour le DT1 qui pourrait changer les vies. 

      Rôle de Percée DT1

      L’objectif principal des travaux de Percée DT1 dans le remplacement des cellules bêta est de placer des cellules productrices d’insuline chez les personnes atteintes de DT1 sans utiliser d’immunosuppresseurs. Percée DT1 soutient fortement le développement de thérapies à base de cellules souches qui ne nécessitent pas d’immunosuppression générale et Percée DT1 International, établie aux États-Unis, a récemment lancé une initiative visant à accélérer ce processus plus que jamais (Project ACT – Accelerate Cell Therapies – en anglais seulement). Pour contribuer à l’avancement de ces thérapies qui changent la donne, le Fonds DT1, un fonds de philanthropie de risque de Percée DT1 (en anglais seulement), a investi dans Sana (en anglais seulement), reconnaissant que sa technologie d’ingénierie hypo-immune était très prometteuse pour les thérapies cellulaires pour le DT1. Nous attendons avec impatience de voir la progression de l’essai clinique.

      Bilan de l’année 2024

      2024 a certainement été une année de transformation. Nous avons célébré 50 ans de collecte de fonds et de défense d’intérêts communautaires au Canada et, en novembre, nous sommes devenus Percée DT1 Canada. Et bien que nous ayons maintenant un nouveau nom et une nouvelle identité visuelle, notre mission reste la même. Nous sommes toujours aussi déterminés à atteindre notre objectif ultime : un monde sans diabète de type 1 (DT1).

      Visionnez : Nous Sommes Percée DT1

      Et c’est toujours grâce à notre incroyable communauté de donateurs, de bénévoles et de sympathisants que nous n’avons jamais dévié de notre mission, en constatant des progrès et des percées dans tous les domaines de la recherche sur le DT1. Et grâce à des événements réussis et à des initiatives de défense d’intérêts à travers le pays, nous avons continué à renforcer notre relation avec la formidable communauté du DT1.

      Grâce à la générosité de ses donateurs, Percée DT1 Canada a connu une autre année transformatrice : en engageant des fonds substantiels pour la recherche, en développant nos partenariats académiques avec de nouvelles bourses et subventions, en continuant à soutenir les familles nouvellement diagnostiquées ainsi que notre communauté adulte du DT1, et en réaffirmant notre engagement à accompagner toute personne vivant avec le DT1 à tout âge et à chaque étape de son parcours.

      Et tandis que nous travaillons sans relâche à trouver des thérapies de guérison, nous continuons à améliorer dès aujourd’hui la vie des quelque 300 000 personnes vivant avec le DT1 au Canada, grâce à la recherche, à la défense d’intérêts et à l’engagement communautaire.

      Les faits marquants de l’année écoulée incluent : 

      Faits marquants de la recherche sur le DT1 

      Dans le remplacement des cellules : 

      Dans les thérapies modificatrices de la maladie : 

      Dans les traitements pour améliorer les vies : 

      Dans le dépistage : 

      • Percée DT1 Canada et Sanofi Canada s’associent pour sensibiliser la population au diabète de type 1 auto-immun et au rôle essentiel du dépistage dans sa détection précoce.
      • Poursuite des travaux de CanScreenT1D, un nouveau consortium canadien de recherche sur le dépistage du DT1 dirigé par la Dre Diane Wherrett.
      • Percée DT1 continue d’intervenir en faveur du dépistage des membres de la famille de personnes atteintes de DT1 partout au Canada via TrialNet.

      Dans les essais cliniques : 

      Pour en savoir plus sur les mises à jour de la recherche et les témoignages de personnes vivant avec le DT1, visitez www.perceeDT1.ca/blogue

      À l’aube de 2025, nous prenons le temps de réfléchir à la gratitude que nous éprouvons à l’égard du soutien de nos donateurs, de nos bénévoles et de l’engagement de la communauté du DT1. Merci! Ensemble, tandis que nous cherchons à trouver des thérapies de guérison pour le diabète de type 1, nous contribuons à améliorer le quotidien des personnes vivant avec cette maladie.